Le ministre sortant de l'Énergie, Walid Fayad, a tenu une conférence de presse, jeudi, en présence du directeur général d'Électricité du Liban (EDL), Kamal Hayek, au cours de laquelle il a fait le point sur le plan d’électricité lancé en février dernier et sur l'évolution de plusieurs dossiers liés à ce secteur.
Il a révélé que le succès du plan d'électricité est relativement faible, avant d’ajouter qu’il existe toutefois une volonté d'augmenter le nombre d'heures d'alimentation jusqu’à 8 à10 heures. Le financement limité de la Banque du Liban (BDL) ne permet cependant qu’une alimentation de 4-5 heures par jour.
Le ministre a indiqué que l'augmentation de l’approvisionnement se fait de manière durable, car les tarifs couvrent désormais les coûts de la production.
Il a également souligné que les chiffres montrent que le coût d'un kilowattheure pour un foyer représente environ 40% du coût des kilowattheures fournis par les générateurs privés.
Concernant les infractions sur le réseau électrique, M. Fayad a déclaré que «la décision était d'augmenter l'alimentation après les campagnes de suppression des infractions sur le réseau». «Les progrès sont positifs, même s'il y a du retard, et les signes que nous avons constatés depuis le début de la mise en œuvre effective du plan d'urgence en février dernier indiquent que les choses vont dans le bons sens», a-t-il indiqué.
Commentant le fait que certaines régions bénéficient de l'électricité au détriment d'autres, M. Fayad a affirmé que «dans chaque point de sortie d'énergie, le pourcentage de gaspillage est mesuré par des statistiques sur le nombre de signalements d'infractions par rapport au nombre d’abonnés. Nous faisons des progrès sur ce plan et il devrait y avoir une amélioration».
Abordant le financement et l'ouverture des lignes de crédit, M. Fayad a souligné qu'il est important qu'il y ait une coopération dynamique entre le ministère des Finances et la Banque centrale pour ouvrir les crédits. «Nous espérons que la Banque centrale ouvrira les crédits dès que possible afin de ne pas retarder la livraison de carburant.»
Il a révélé que le succès du plan d'électricité est relativement faible, avant d’ajouter qu’il existe toutefois une volonté d'augmenter le nombre d'heures d'alimentation jusqu’à 8 à10 heures. Le financement limité de la Banque du Liban (BDL) ne permet cependant qu’une alimentation de 4-5 heures par jour.
Le ministre a indiqué que l'augmentation de l’approvisionnement se fait de manière durable, car les tarifs couvrent désormais les coûts de la production.
Il a également souligné que les chiffres montrent que le coût d'un kilowattheure pour un foyer représente environ 40% du coût des kilowattheures fournis par les générateurs privés.
Concernant les infractions sur le réseau électrique, M. Fayad a déclaré que «la décision était d'augmenter l'alimentation après les campagnes de suppression des infractions sur le réseau». «Les progrès sont positifs, même s'il y a du retard, et les signes que nous avons constatés depuis le début de la mise en œuvre effective du plan d'urgence en février dernier indiquent que les choses vont dans le bons sens», a-t-il indiqué.
Commentant le fait que certaines régions bénéficient de l'électricité au détriment d'autres, M. Fayad a affirmé que «dans chaque point de sortie d'énergie, le pourcentage de gaspillage est mesuré par des statistiques sur le nombre de signalements d'infractions par rapport au nombre d’abonnés. Nous faisons des progrès sur ce plan et il devrait y avoir une amélioration».
Abordant le financement et l'ouverture des lignes de crédit, M. Fayad a souligné qu'il est important qu'il y ait une coopération dynamique entre le ministère des Finances et la Banque centrale pour ouvrir les crédits. «Nous espérons que la Banque centrale ouvrira les crédits dès que possible afin de ne pas retarder la livraison de carburant.»
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