À l’occasion de la 108ᵉ commémoration du génocide arménien, des responsables libanais ont élevé la voix appelant à «une reconnaissance» du crime. Un hommage a également été adressé au peuple arménien qui, par la lutte menée au fil des ans, a fait en sorte que cette tragédie ne soit pas oubliée.
– Samir Geagea, leader des Forces libanaises (FL), dans une déclaration à Radio Liban libre: «Cent huit ans plus tard, le génocide arménien n’a toujours pas été reconnu et les indemnités n’ont pas été versées. (…) Sans le combat mené par le peuple arménien, la cause arménienne aurait été oubliée (…). Le génocide doit être transformé d’une commémoration en une leçon pour chaque occupant et criminel parce que le châtiment reste le seul moyen de dissuasion pour éviter que de tels génocides et massacres ne se répètent. Preuve en est, le régime syrien a commis des massacres similaires envers son peuple sans pour autant craindre de sanction, parce que la communauté internationale s’est contentée de les condamner verbalement.»
– Georges Bouchikian, ministre sortant de l’Industrie, dans une déclaration: «Le peuple arménien n’oubliera jamais (…).Nous sommes déterminés à demander à la Turquie de reconnaître le génocide et de s’excuser. Nous n’aurons de cesse que nous obtenions réparation.»
– Michel Moawad, député de Zghorta, sur son compte Twitter: «La commémoration du génocide arménien nous apprend que la justice est une cause transgénérationnelle qui ne mourra pas. (…)»
– Jihad Pakradouni, député de Beyrouth, sur son compte Twitter: «Le génocide arménien ne s’efface pas de la mémoire. Il restera une cause transgénérationnelle.»
– Richard Kouyoumdjian, ancien ministre, dans une déclaration à Radio Liban Libre: «L’Arménie et le Liban partagent la même tragédie et la même cause, celle de l’existence, de la liberté et de la croyance (…).»
– Élias Hankache, député du bloc Kataëb, sur son compte Twitter: «Nous appelons à voter la proposition de loi que nous avons présentée en 2020 pour que cette journée soit nationale pour commémorer cette journée et celle des massacres syriaques, assyriens et chaldéens.»
– Hagop Terzian, député de Beyrouth, sur son compte Twitter: «Cela fait 108 ans que nos aïeux sont enterrés dans des fosses communes. Ils n’ont pas connu la paix. La communauté internationale est silencieuse. Nous n’aurons de cesse de demander la reconnaissance du génocide commis par la Turquie.»
– Le Conseil maronite, dans un communiqué: «Cette tragédie humaine est une commémoration nationale par excellence (…).»
– Samir Geagea, leader des Forces libanaises (FL), dans une déclaration à Radio Liban libre: «Cent huit ans plus tard, le génocide arménien n’a toujours pas été reconnu et les indemnités n’ont pas été versées. (…) Sans le combat mené par le peuple arménien, la cause arménienne aurait été oubliée (…). Le génocide doit être transformé d’une commémoration en une leçon pour chaque occupant et criminel parce que le châtiment reste le seul moyen de dissuasion pour éviter que de tels génocides et massacres ne se répètent. Preuve en est, le régime syrien a commis des massacres similaires envers son peuple sans pour autant craindre de sanction, parce que la communauté internationale s’est contentée de les condamner verbalement.»
– Georges Bouchikian, ministre sortant de l’Industrie, dans une déclaration: «Le peuple arménien n’oubliera jamais (…).Nous sommes déterminés à demander à la Turquie de reconnaître le génocide et de s’excuser. Nous n’aurons de cesse que nous obtenions réparation.»
– Michel Moawad, député de Zghorta, sur son compte Twitter: «La commémoration du génocide arménien nous apprend que la justice est une cause transgénérationnelle qui ne mourra pas. (…)»
– Jihad Pakradouni, député de Beyrouth, sur son compte Twitter: «Le génocide arménien ne s’efface pas de la mémoire. Il restera une cause transgénérationnelle.»
– Richard Kouyoumdjian, ancien ministre, dans une déclaration à Radio Liban Libre: «L’Arménie et le Liban partagent la même tragédie et la même cause, celle de l’existence, de la liberté et de la croyance (…).»
– Élias Hankache, député du bloc Kataëb, sur son compte Twitter: «Nous appelons à voter la proposition de loi que nous avons présentée en 2020 pour que cette journée soit nationale pour commémorer cette journée et celle des massacres syriaques, assyriens et chaldéens.»
– Hagop Terzian, député de Beyrouth, sur son compte Twitter: «Cela fait 108 ans que nos aïeux sont enterrés dans des fosses communes. Ils n’ont pas connu la paix. La communauté internationale est silencieuse. Nous n’aurons de cesse de demander la reconnaissance du génocide commis par la Turquie.»
– Le Conseil maronite, dans un communiqué: «Cette tragédie humaine est une commémoration nationale par excellence (…).»
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