La France demeure attachée à sa formule qui consiste à élire un président du 8 Mars et nommer un Premier ministre du 14 Mars. Elle estime que c’est le paysage politique actuel qui dicte pareille orientation. Or selon certaines sources diplomatiques, les Français ne s’opposeront à aucune autre formule, pourvu que celle-ci aboutisse à la résolution des problèmes politiques et économiques du Liban, conformément à l’accord de Taëf. D’après ces mêmes sources, la France collabore à cette fin avec les quatre autres États de la réunion de Paris, à savoir les USA, l’Arabie saoudite, le Qatar et l’Égypte. Les Français ont également précisé qu’ils ne mettront en avant aucun candidat, mais qu’ils tiennent à la formule citée plus haut, sachant qu’ils sont parfaitement en mesure de communiquer avec toutes les parties libanaises.
En contrepartie, les opposants à la proposition française, en l’occurrence les souverainistes, estiment que la France n’a toujours pas tiré les leçons des expériences passées et rejettent donc le projet en bloc. Ils considèrent que le problème ne réside pas dans la personne de Sleiman Frangié, mais dans son alignement avec le Hezbollah. Force est par ailleurs d’ajouter que tout autre candidat du même bord sera, lui aussi, rejeté.
Toujours selon cette même logique, les opposants appellent la France à revoir sa copie, de manière à rester en bons termes avec toutes les composantes libanaises, notamment celles qui ont des liens d’amitié historiques avec elle. Il s’agit principalement des chrétiens qui partagent les mêmes valeurs que le pays des Lumières tente de répandre, telles que la liberté, la démocratie et la culture de l’ouverture, etc. En l’occurrence, il serait absurde qu’un État de ce type tente de promouvoir le projet d’un parti qui ne partage aucunement ces valeurs et envisage même de pervertir l’identité du Liban à tout jamais.
De surcroît, les opposants à la proposition française trouvent étrange que les Français pensent que la formule proposée résoudra la crise politique et économique libanaise. Après tout, bien des théories ont été émises et devraient, pour ceux qui en doutent, faire office de preuve que le système des quotas et les pratiques des dernières années ne feront qu'assurer le déclin de l'État et consacreront l'hégémonie absolue du Hezbollah.
En contrepartie, les opposants à la proposition française, en l’occurrence les souverainistes, estiment que la France n’a toujours pas tiré les leçons des expériences passées et rejettent donc le projet en bloc. Ils considèrent que le problème ne réside pas dans la personne de Sleiman Frangié, mais dans son alignement avec le Hezbollah. Force est par ailleurs d’ajouter que tout autre candidat du même bord sera, lui aussi, rejeté.
Toujours selon cette même logique, les opposants appellent la France à revoir sa copie, de manière à rester en bons termes avec toutes les composantes libanaises, notamment celles qui ont des liens d’amitié historiques avec elle. Il s’agit principalement des chrétiens qui partagent les mêmes valeurs que le pays des Lumières tente de répandre, telles que la liberté, la démocratie et la culture de l’ouverture, etc. En l’occurrence, il serait absurde qu’un État de ce type tente de promouvoir le projet d’un parti qui ne partage aucunement ces valeurs et envisage même de pervertir l’identité du Liban à tout jamais.
De surcroît, les opposants à la proposition française trouvent étrange que les Français pensent que la formule proposée résoudra la crise politique et économique libanaise. Après tout, bien des théories ont été émises et devraient, pour ceux qui en doutent, faire office de preuve que le système des quotas et les pratiques des dernières années ne feront qu'assurer le déclin de l'État et consacreront l'hégémonie absolue du Hezbollah.
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