Le chef des Forces libanaises Samir Geagea a estimé jeudi que les chances du candidat de la « moumanaa » (pro-Hezbollah) à la présidence de la République « sont désormais nulles », soulignant qu’il n’est dans l’intérêt « d’aucun candidat de miser sur le facteur temps ».
M. Geagea, qui faisait référence à Sleiman Frangié (dont la candidature est appuyée par le Hezbollah et le mouvement Amal) a tenu ces propos lors d’un entretien avec l’ambassadrice américaine au Liban, Dorothy Shea, qu’il a reçue à Meerab. Cet entretien s’inscrit dans le cadre d’une tournée de la diplomate américaine auprès des responsables libanais. Elle a récemment rencontré le chef du Parlement Nabih Berry et le patriarche maronite Béchara Raï.
« Le jeu du temps aggrave la crise et retarde les chances de la réforme dont les Libanais ont besoin », a souligné le chef des FL, ajoutant : «Le temps est venu de faire preuve de courage et de convoquer le Parlement afin qu’il accomplisse son devoir constitutionnel, à commencer par l’élection d’un président de la République le plus vite possible ».
Selon lui, « il incombe aux Libanais aujourd’hui de garantir l’élection d’un candidat qui jouit non seulement de l'intégrité, mais aussi du courage nécessaire pour diriger le pays à la lumière de cette situation délicate ».
Précisant que le sauvetage est possible actuellement, M. Geagea a souligné que « l’élection d’un président le plus tôt possible est la principale porte d'entrée pour reconstituer le pouvoir conformément aux intérêts et aux priorités du peuple libanais ».
M. Geagea, qui faisait référence à Sleiman Frangié (dont la candidature est appuyée par le Hezbollah et le mouvement Amal) a tenu ces propos lors d’un entretien avec l’ambassadrice américaine au Liban, Dorothy Shea, qu’il a reçue à Meerab. Cet entretien s’inscrit dans le cadre d’une tournée de la diplomate américaine auprès des responsables libanais. Elle a récemment rencontré le chef du Parlement Nabih Berry et le patriarche maronite Béchara Raï.
« Le jeu du temps aggrave la crise et retarde les chances de la réforme dont les Libanais ont besoin », a souligné le chef des FL, ajoutant : «Le temps est venu de faire preuve de courage et de convoquer le Parlement afin qu’il accomplisse son devoir constitutionnel, à commencer par l’élection d’un président de la République le plus vite possible ».
Selon lui, « il incombe aux Libanais aujourd’hui de garantir l’élection d’un candidat qui jouit non seulement de l'intégrité, mais aussi du courage nécessaire pour diriger le pays à la lumière de cette situation délicate ».
Précisant que le sauvetage est possible actuellement, M. Geagea a souligné que « l’élection d’un président le plus tôt possible est la principale porte d'entrée pour reconstituer le pouvoir conformément aux intérêts et aux priorités du peuple libanais ».
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