©(Greg JOHNSON/US NAVY/AFP)
En réponse aux saisies de navires commerciaux par l'Iran, les États-Unis ont annoncé vouloir renforcer leur présence dans le Golfe. Une série d'actions devraient être annoncées dans les prochains jours pour permettre la "liberté de navigation".
Les États-Unis vont engager "une série d'actions pour renforcer (leur) posture défensive dans le Golfe", a indiqué vendredi un porte-parole de la Maison-Blanche.
Cette décision, dont les détails seront rendus publics dans les prochains jours par le Pentagone, se veut une réponse à la saisie par l'Iran de navires commerciaux dans la zone, dont, fin avril, un pétrolier battant pavillon des Iles Marshall et à destination des États-Unis.
"Les États-Unis condamnent fermement toutes les actions qui menacent et perturbent le trafic maritime commercial au Moyen-Orient", a dit John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, lors d’un entretien avec des journalistes.
"Depuis deux ans, l'Iran a harcelé, attaqué et perturbé" la navigation commerciale dans ces eaux, a-t-il dit, assurant que Washington ne "permettrait pas à des puissances étrangères ou régionales de mettre en péril la liberté de navigation" dans la zone.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Les États-Unis vont engager "une série d'actions pour renforcer (leur) posture défensive dans le Golfe", a indiqué vendredi un porte-parole de la Maison-Blanche.
Cette décision, dont les détails seront rendus publics dans les prochains jours par le Pentagone, se veut une réponse à la saisie par l'Iran de navires commerciaux dans la zone, dont, fin avril, un pétrolier battant pavillon des Iles Marshall et à destination des États-Unis.
"Les États-Unis condamnent fermement toutes les actions qui menacent et perturbent le trafic maritime commercial au Moyen-Orient", a dit John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, lors d’un entretien avec des journalistes.
"Depuis deux ans, l'Iran a harcelé, attaqué et perturbé" la navigation commerciale dans ces eaux, a-t-il dit, assurant que Washington ne "permettrait pas à des puissances étrangères ou régionales de mettre en péril la liberté de navigation" dans la zone.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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