©Hassan Fadlallah
Membre du bloc parlementaire du Hezbollah, le député Hassan Fadlallah a déploré la réaction du président du Conseil des ministres Nagib Mikati, lundi soir, au discours du chef du Hezbollah Hassan Nasrallah.
Il a ainsi déclaré dans un communiqué qu'au lieu de "s’indigner face aux abus répétés de l’Arabie saoudite envers le peuple libanais, M. Mikati a préféré obtenir un satisfecit de ceux-là ». "Nous nous attendions à ce que Mikati s’insurge pour défendre la dignité du Liban, mais au lieu de cela, il s'est retourné contre les Libanais, mettant en doute l'appartenance nationale d'une majorité d'entre eux qu'il a accusé de terrorisme", a-t-il dit, avant d'insister sur la « libanité » de la "résistance" pro-iranienne.
Pour la deuxième commémoration de l’assassinat de Kassem Soleimani, chef des brigades Al-Qods au sein des Gardiens de la révolution iranienne, le chef du Hezbollah avait tiré à boulets rouges sur Washington et Riyad, accusant l’Arabie saoudite de se livrer à du "terrorisme" et de prendre "en otages des milliers de Libanais" ( Pour honorer la mémoire de Soleimani, Nasrallah tire à boulets rouges sur Washington et Riyad ). Le bureau de presse du Premier ministre s’était empressé de publier un communiqué stigmatisant les propos du leader du parti chiite à l’égard de Riyad.
Il a ainsi déclaré dans un communiqué qu'au lieu de "s’indigner face aux abus répétés de l’Arabie saoudite envers le peuple libanais, M. Mikati a préféré obtenir un satisfecit de ceux-là ». "Nous nous attendions à ce que Mikati s’insurge pour défendre la dignité du Liban, mais au lieu de cela, il s'est retourné contre les Libanais, mettant en doute l'appartenance nationale d'une majorité d'entre eux qu'il a accusé de terrorisme", a-t-il dit, avant d'insister sur la « libanité » de la "résistance" pro-iranienne.
Pour la deuxième commémoration de l’assassinat de Kassem Soleimani, chef des brigades Al-Qods au sein des Gardiens de la révolution iranienne, le chef du Hezbollah avait tiré à boulets rouges sur Washington et Riyad, accusant l’Arabie saoudite de se livrer à du "terrorisme" et de prendre "en otages des milliers de Libanais" ( Pour honorer la mémoire de Soleimani, Nasrallah tire à boulets rouges sur Washington et Riyad ). Le bureau de presse du Premier ministre s’était empressé de publier un communiqué stigmatisant les propos du leader du parti chiite à l’égard de Riyad.
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