Le député Achraf Rifi a regretté la rétractation du chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, à l’égard de l’ancien ministre Jihad Azour, comme potentiel candidat à la présidence au Liban. Dans une interview accordée à la plateforme « Al-Mach’had », il a déclaré que l’opposition et le CPL s’étaient entendu sur le nom de M. Azour, avant que M. Bassil ne recule devant cette proposition. « Nous n’accepterons pas et ne faciliterons pas l’arrivée d’un président imposé par le Hezbollah », a-t-il insisté, précisant être favorable, actuellement, à l’élection du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun.
Il a considéré que si le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, venait à établir un nouvel accord comme celui de Meerab en 2016, avec le CPL, pour empêcher le chef des Marada, Sleiman Frangié d’arriver à la tête de l’État, « ce serait un grand crime envers le peuple libanais ».
Il s’est, par ailleurs, montré favorable à la réconciliation entre l’Arabie saoudite et la Syrie, tant que les choses se font avec prudence, pariant sur le fait que « Damas risque de ne pas respecter ses engagements ».
Il a considéré que si le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, venait à établir un nouvel accord comme celui de Meerab en 2016, avec le CPL, pour empêcher le chef des Marada, Sleiman Frangié d’arriver à la tête de l’État, « ce serait un grand crime envers le peuple libanais ».
Il s’est, par ailleurs, montré favorable à la réconciliation entre l’Arabie saoudite et la Syrie, tant que les choses se font avec prudence, pariant sur le fait que « Damas risque de ne pas respecter ses engagements ».
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