En dépit du tourbillon de crises qui assaillent le Liban, le Cabriolet Film Festival continue de faire preuve d’une remarquable résilience, préservant ainsi une tradition cinématographique qui fut initiée il y a quinze ans.
L’infatigable organisateur du festival, Brahim Samaha, convie une fois de plus les cinéphiles sur les marches de l’emblématique escalier Saint-Nicolas, niché au cœur du quartier animé de Gemmayzé. Ce lieu singulier, teinté de charme historique et d’urbanité, se transforme le temps d’une manifestation en un véritable amphithéâtre à ciel ouvert dédié à l’art cinématographique.
Cette année, du 2 au 4 juin, l’événement gravite autour du thème du « chez-soi » ou de l’identité personnelle. Un sujet soigneusement sélectionné pour susciter réflexion et débat sur la notion d’appartenance, l’individualité et les complexités de l’identité dans un monde en perpétuelle mutation. Ce choix thématique est d’autant plus pertinent au regard du contexte mondial actuel où les questions d’identité et d’appartenance prennent une importance croissante.
Un florilège de 48 courts-métrages sera à l’honneur durant le festival, rassemblant des créateurs libanais et internationaux, qu’ils soient amateurs éclairés ou professionnels aguerris. Ces films, projetés sur d’immenses écrans judicieusement disposés de part et d’autre des escaliers, promettent une véritable immersion dans l’univers du 7e art. Cette diversité de voix et de visions constitue un vibrant hommage à la puissance du cinéma, capable de transcender les épreuves et les incertitudes.
L’infatigable organisateur du festival, Brahim Samaha, convie une fois de plus les cinéphiles sur les marches de l’emblématique escalier Saint-Nicolas, niché au cœur du quartier animé de Gemmayzé. Ce lieu singulier, teinté de charme historique et d’urbanité, se transforme le temps d’une manifestation en un véritable amphithéâtre à ciel ouvert dédié à l’art cinématographique.
Cette année, du 2 au 4 juin, l’événement gravite autour du thème du « chez-soi » ou de l’identité personnelle. Un sujet soigneusement sélectionné pour susciter réflexion et débat sur la notion d’appartenance, l’individualité et les complexités de l’identité dans un monde en perpétuelle mutation. Ce choix thématique est d’autant plus pertinent au regard du contexte mondial actuel où les questions d’identité et d’appartenance prennent une importance croissante.
Un florilège de 48 courts-métrages sera à l’honneur durant le festival, rassemblant des créateurs libanais et internationaux, qu’ils soient amateurs éclairés ou professionnels aguerris. Ces films, projetés sur d’immenses écrans judicieusement disposés de part et d’autre des escaliers, promettent une véritable immersion dans l’univers du 7e art. Cette diversité de voix et de visions constitue un vibrant hommage à la puissance du cinéma, capable de transcender les épreuves et les incertitudes.
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