Neemat Frem, député du Kesrouan et candidat à la présidence, a fait part, mardi 13 juin, de son projet «Pour le renouveau du Liban», dans lequel il explique que le «plan économique repose sur 6 piliers: la loi sur le secret bancaire, le contrôle des capitaux, l’ordonnancement financier et la répartition des pertes, le fonds d’investissement des actifs de l’État, l’équilibre financier en matière de budget et les lois et procédures fondamentales».
Il a, dans ce contexte, précisé que «la loi sur le secret bancaire, approuvée par le Parlement, est la pierre angulaire pour lancer le processus de relance». D’autres éléments permettent le redressement du pays, selon lui, à savoir la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale et le rôle du pouvoir judiciaire.
D’après lui, «le nouveau président, le prochain gouvernement et le Parlement actuel auront des décisions difficiles à prendre». Il a également souligné l’importance d’élire un nouveau chef de l’État, par les temps qui courent, et considéré que la plus grande responsabilité en matière de crise financière incombe à l’État qui a «gaspillé les dollars des déposants lors des vingt dernières années».
Il a, dans ce contexte, précisé que «la loi sur le secret bancaire, approuvée par le Parlement, est la pierre angulaire pour lancer le processus de relance». D’autres éléments permettent le redressement du pays, selon lui, à savoir la lutte contre la corruption, le blanchiment d’argent et l’évasion fiscale et le rôle du pouvoir judiciaire.
D’après lui, «le nouveau président, le prochain gouvernement et le Parlement actuel auront des décisions difficiles à prendre». Il a également souligné l’importance d’élire un nouveau chef de l’État, par les temps qui courent, et considéré que la plus grande responsabilité en matière de crise financière incombe à l’État qui a «gaspillé les dollars des déposants lors des vingt dernières années».
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