Salim Sayegh, député des Kataëb, a dénoncé l’ingérence iranienne dans l'élection présidentielle libanaise, et a appelé le patriarche Béchara Raï à « internationaliser le dossier libanais ». Fustigeant la présence d’armes illégales qui contrôlent le pays, M. Sayegh a exigé que « l'Iran soit présent dans cette solution afin que chacun assume ses responsabilités. »
Dans une intervention télévisée samedi sur les ondes de « Radio Liban libre », M. Sayegh a estimé que « les résultats obtenus par l’ancien ministre et candidat de l’opposition Jihad Azour sont positifs » d’autant plus que ce dernier « n’a pas été impliqué récemment dans l’arène politique libanaise et a de bonnes relations internationales sur le plan économique et est loin de la classe dirigeante. »
Concernant la déclaration de l'Élysée au terme de la rencontre Macron-Ben Salmane, M. Sayegh a estimé que « la vacance présidentielle ne persistera pas, car il existe une volonté internationale de trouver une issue rapide à cette impasse ». Il a par ailleurs indiqué qu’ « il s’attend à ce que nous aurons un président en début d’été » soulignant toutefois que « lier le Liban à d'autres dossiers régionaux pourrait conduire à sa chute et à sa disparition » en allusion notamment au dossier iranien.
« La Moumanaa (axe obstructioniste) a compris que les libres et les chrétiens du Liban ne se rendent pas » a fait valoir M. Sayegh. Et d'ajouter: « Nous avons attendu 1.500 ans pour acquérir notre indépendance, et nous avons perdu les deux tiers de notre peuple à cause de la guerre et de l'émigration. Celui qui prend les chrétiens pour des dhimmis se trompe complètement.»
Le député du Kesrouan a par ailleurs estimé que « le président de la Chambre, Nabih Berry est le cerveau de la Moumanaa et sert ses intérêts sinon il aurait pu demander et persuader les députés de rester au Parlement pour terminer la deuxième session" Et de conclure: « Nous exigeons que Nabih Berry convoque une séance électorale et fasse son devoir pour que nous puissions appliquer la Constitution. »
Dans une intervention télévisée samedi sur les ondes de « Radio Liban libre », M. Sayegh a estimé que « les résultats obtenus par l’ancien ministre et candidat de l’opposition Jihad Azour sont positifs » d’autant plus que ce dernier « n’a pas été impliqué récemment dans l’arène politique libanaise et a de bonnes relations internationales sur le plan économique et est loin de la classe dirigeante. »
Concernant la déclaration de l'Élysée au terme de la rencontre Macron-Ben Salmane, M. Sayegh a estimé que « la vacance présidentielle ne persistera pas, car il existe une volonté internationale de trouver une issue rapide à cette impasse ». Il a par ailleurs indiqué qu’ « il s’attend à ce que nous aurons un président en début d’été » soulignant toutefois que « lier le Liban à d'autres dossiers régionaux pourrait conduire à sa chute et à sa disparition » en allusion notamment au dossier iranien.
« La Moumanaa (axe obstructioniste) a compris que les libres et les chrétiens du Liban ne se rendent pas » a fait valoir M. Sayegh. Et d'ajouter: « Nous avons attendu 1.500 ans pour acquérir notre indépendance, et nous avons perdu les deux tiers de notre peuple à cause de la guerre et de l'émigration. Celui qui prend les chrétiens pour des dhimmis se trompe complètement.»
Le député du Kesrouan a par ailleurs estimé que « le président de la Chambre, Nabih Berry est le cerveau de la Moumanaa et sert ses intérêts sinon il aurait pu demander et persuader les députés de rester au Parlement pour terminer la deuxième session" Et de conclure: « Nous exigeons que Nabih Berry convoque une séance électorale et fasse son devoir pour que nous puissions appliquer la Constitution. »
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