Les députés de l’opposition ont annoncé lundi matin qu’ils ne participeraient pas à la séance législative générale prévue à 11h, affirmant qu’elle «n’est pas constitutionnelle».
Dans une déclaration, ils ont fustigé l’appel du président du Parlement, Nabih Berry, à une séance législative alors qu’il «a bloqué la douzième séance parlementaire pour l’élection du président de la République». Ils font ainsi allusion à la séance électorale du 14 juin, lorsque les députés du tandem Amal-Hezbollah avaient provoqué un défaut de quorum, avant même la fin du décompte des voix du premier tour électoral.
Les députés de l’opposition ont, à cet égard, appelé une fois de plus leurs collègues pour se réunir immédiatement au Parlement pour des séances électorales successives «comme le prévoit la Constitution». Et ce, pour élire un président qui pourra lancer le processus de sauvetage et traiter toutes les conséquences de la crise de manière scientifique «en tête desquelles les salaires des fonctionnaires».
À noter que les deux points à l’ordre du jour de la session législative de lundi concernent le financement des salaires des fonctionnaires.
Les députés ont affirmé que la session n’est pas constitutionnelle, car il n’est pas possible d’approuver des crédits supplémentaires en l’absence du budget 2023, «que le gouvernement, ne bénéficiant pas de confiance parlementaire et populaire, n’a pas élaboré».
Les députés ont précisé que leur décision de ne pas participer aux sessions législatives est basée sur un principe constitutionnel qui vise à protéger les droits des Libanais en général et des fonctionnaires en particulier. Pour eux, le Parlement ne peut pas «légiférer» et «normaliser le vide» en l’absence d’un président élu.
Cette déclaration est signée par 29 députés de l’opposition appartenant aux blocs des Forces libanaises, des Kataëb, du Renouveau et du Changement.
Dans une déclaration, ils ont fustigé l’appel du président du Parlement, Nabih Berry, à une séance législative alors qu’il «a bloqué la douzième séance parlementaire pour l’élection du président de la République». Ils font ainsi allusion à la séance électorale du 14 juin, lorsque les députés du tandem Amal-Hezbollah avaient provoqué un défaut de quorum, avant même la fin du décompte des voix du premier tour électoral.
Les députés de l’opposition ont, à cet égard, appelé une fois de plus leurs collègues pour se réunir immédiatement au Parlement pour des séances électorales successives «comme le prévoit la Constitution». Et ce, pour élire un président qui pourra lancer le processus de sauvetage et traiter toutes les conséquences de la crise de manière scientifique «en tête desquelles les salaires des fonctionnaires».
À noter que les deux points à l’ordre du jour de la session législative de lundi concernent le financement des salaires des fonctionnaires.
Les députés ont affirmé que la session n’est pas constitutionnelle, car il n’est pas possible d’approuver des crédits supplémentaires en l’absence du budget 2023, «que le gouvernement, ne bénéficiant pas de confiance parlementaire et populaire, n’a pas élaboré».
Les députés ont précisé que leur décision de ne pas participer aux sessions législatives est basée sur un principe constitutionnel qui vise à protéger les droits des Libanais en général et des fonctionnaires en particulier. Pour eux, le Parlement ne peut pas «légiférer» et «normaliser le vide» en l’absence d’un président élu.
Cette déclaration est signée par 29 députés de l’opposition appartenant aux blocs des Forces libanaises, des Kataëb, du Renouveau et du Changement.
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