Le patriarche maronite, le cardinal Béchara Raï, a haussé le ton à nouveau dans sa stigmatisation de l’aliénation du pouvoir central au Liban sous la pression des ingérences et allégeances étrangères, dans une allusion à peine voilée au rôle joué par le Hezbollah à l’échelle régionale.
« La légalité libanaise doit recouvrer sa décision libre de façon claire en consolidant l’unité de son appareil militaire, a notamment souligné le patriarche Raï dans son homélie dominicale prononcée dimanche matin à Bkerké. La légalité doit se retirer de la politique des axes qui est destructrice et doit préserver ses institutions constitutionnelles ».
Et le cardinal Raï de poursuivre : « Il est inconcevable que le Conseil des ministres soit toujours paralysé, d’autant que tout accord avec le Fonds monétaire international nécessite l’aval du Conseil des ministres dans son ensemble ».
Evoquant implicitement la ligne de conduite du Hezbollah, le patriarche maronite a ajouté : « Si une faction libanaise précise a l’intention de lier le sort du Liban à des décisions régionales et à des allégeances étrangères, elle ne ferait alors que sortir du consensus (national) en portant atteinte à l’unité du Liban dans son essence ».
« La légalité libanaise doit recouvrer sa décision libre de façon claire en consolidant l’unité de son appareil militaire, a notamment souligné le patriarche Raï dans son homélie dominicale prononcée dimanche matin à Bkerké. La légalité doit se retirer de la politique des axes qui est destructrice et doit préserver ses institutions constitutionnelles ».
Et le cardinal Raï de poursuivre : « Il est inconcevable que le Conseil des ministres soit toujours paralysé, d’autant que tout accord avec le Fonds monétaire international nécessite l’aval du Conseil des ministres dans son ensemble ».
Evoquant implicitement la ligne de conduite du Hezbollah, le patriarche maronite a ajouté : « Si une faction libanaise précise a l’intention de lier le sort du Liban à des décisions régionales et à des allégeances étrangères, elle ne ferait alors que sortir du consensus (national) en portant atteinte à l’unité du Liban dans son essence ».
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