©Le nouveau centre de soins de santé primaires inauguré grâce à Kelna Aylé.
L’Association Kelna Aylé (nous formons tous une famille) a inauguré lundi un nouveau centre de soins de santé primaires, à l’hôpital Cortbawi, à Adma.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la série de projets humanitaires et de développement menés par l’association fondée par Karen Gemayel, dans le but d’assurer un accès aux soins primaires à un grand nombre de Libanais qui ploient sous le poids d’une crise socio-économique sans précédent, tout en préservant la dignité des bénéficiaires.
Il s’agit du second centre de soins de santé primaires ouvert par Kelna Aylé, après celui de Bikfaya.
La cérémonie inaugurale s’est déroulée en présence de l’ancien président Amine Gemayel et de son épouse, Joyce, des députés Samy Gemayel et Elias Hankach, de l’ancien ministre de l’Économie, Alain Hakim, de Marielle Moawad, épouse du député Michel Moawad, Linda Baroud, épouse de l’ancien ministre de l’Intérieur, Ziyad Baroud et May Makhzoumi, épouse du député Fouad Makhzoumi, ainsi que de la directrice de l’hôpital, sœur Katia Damous et plusieurs autres personnalités.
La fondatrice de Kelna Aylé Mme Karen Gemayel prononçant son discours (Pho DR).
Dans l’allocution qu’elle a prononcée pour l’occasion, Mme Gemayel a souligné l'importance du travail humanitaire mené par l'association, «alors que l’écrasante majorité des Libanais souffre d’un manque certain au niveau des services sociaux et de santé assurés et est confrontée à d’immenses difficultés pour couvrir leurs besoins vitaux les plus élémentaires».
Le centre de soins de l’hôpital Cortbawi doit offrir ses services aux habitants du Kesrouan et des environs. «Ses portes seront ouvertes à tous, sans discrimination, conformément aux valeurs de l’association», a ajouté Mme Gemayel.
Kelna Aylé a été fondée grâce aux efforts d’un groupe de jeunes femmes impliquées dans le travail social, en décembre 2019, alors que la crise économique et financière battait son plein. L’association a fourni à l’époque de la nourriture et des fournitures de base aux familles dans le besoin et s’est également investie à fond dans le travail social, durant la pandémie du Covid-19 et surtout, après l’explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre de la série de projets humanitaires et de développement menés par l’association fondée par Karen Gemayel, dans le but d’assurer un accès aux soins primaires à un grand nombre de Libanais qui ploient sous le poids d’une crise socio-économique sans précédent, tout en préservant la dignité des bénéficiaires.
Il s’agit du second centre de soins de santé primaires ouvert par Kelna Aylé, après celui de Bikfaya.
La cérémonie inaugurale s’est déroulée en présence de l’ancien président Amine Gemayel et de son épouse, Joyce, des députés Samy Gemayel et Elias Hankach, de l’ancien ministre de l’Économie, Alain Hakim, de Marielle Moawad, épouse du député Michel Moawad, Linda Baroud, épouse de l’ancien ministre de l’Intérieur, Ziyad Baroud et May Makhzoumi, épouse du député Fouad Makhzoumi, ainsi que de la directrice de l’hôpital, sœur Katia Damous et plusieurs autres personnalités.
La fondatrice de Kelna Aylé Mme Karen Gemayel prononçant son discours (Pho DR).
Dans l’allocution qu’elle a prononcée pour l’occasion, Mme Gemayel a souligné l'importance du travail humanitaire mené par l'association, «alors que l’écrasante majorité des Libanais souffre d’un manque certain au niveau des services sociaux et de santé assurés et est confrontée à d’immenses difficultés pour couvrir leurs besoins vitaux les plus élémentaires».
Le centre de soins de l’hôpital Cortbawi doit offrir ses services aux habitants du Kesrouan et des environs. «Ses portes seront ouvertes à tous, sans discrimination, conformément aux valeurs de l’association», a ajouté Mme Gemayel.
Kelna Aylé a été fondée grâce aux efforts d’un groupe de jeunes femmes impliquées dans le travail social, en décembre 2019, alors que la crise économique et financière battait son plein. L’association a fourni à l’époque de la nourriture et des fournitures de base aux familles dans le besoin et s’est également investie à fond dans le travail social, durant la pandémie du Covid-19 et surtout, après l’explosion du 4 août 2020 au port de Beyrouth.
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