©Samedi à Bilbao le Britannique Adam Yates a endossé le premier maillot jaune du Tour de France 2023. Thomas Samson/AFP
Le Britannique Adam Yates (UAE) a endossé le premier maillot jaune du Tour de France 2023, samedi à Bilbao, en remportant la première étape devant son frère Simon Yates, qui court pour l'équipe Jayco-AlUla. Le deuxième du dernier Dauphiné s'est détaché avec son frère jumeau dans la descente de la côte de Pike, à 9 kilomètres de l'arrivée, pour s'imposer avec quatre secondes d'avance. Son coéquipier le Slovène Tadej Pogacar a réglé au sprint un petit groupe de favoris arrivé douze secondes plus tard.
À l'assaut du Jaizkibel
Longue de 209 kilomètres, la deuxième étape du Tour de France dimanche ralliera Vitoria à Saint-Sébastien avec, au menu, le Jaizkibel, ascension mythique du Pays basque, où on devrait encore retrouver les meilleurs à l'avant. Cinq ascensions répertoriées rythment un tracé vallonné qui se faufile vers la mer Cantabrique en empruntant des routes souvent étroites et sinueuses.
"Ça peut être une revanche de la veille. La première partie de l'étape est assez simple. Mais le Jaizkibel est propice aux attaques parce qu'il est placé dans les vingt derniers kilomètres", explique le directeur de la course Thierry Gouvenou à l'AFP. Traditionnel juge de paix de la Clasica San-Sebastian, le Jaizkibel sera escaladé par son versant opposé, pour une montée plutôt exigeante de 8,1 km à 5,3% de moyenne. "L'avantage, c'est que la partie dure est dans le final. Et au sommet, on n'est qu'à 16 km de l'arrivée. Les équipiers du maillot jaune risquent de souffrir et il peut y avoir des opportunités d'attaque", analyse Gouvenou.
Une arrivée au sprint en petit comité est un scénario plausible avec des coureurs comme Wout Van Aert en position de force. Départ de Vitoria à 12h15 (13h15, heure de Beyrouth), arrivée à Saint-Sébastien vers 17h16 (18h16, heure de Beyrouth).
À l'assaut du Jaizkibel
Longue de 209 kilomètres, la deuxième étape du Tour de France dimanche ralliera Vitoria à Saint-Sébastien avec, au menu, le Jaizkibel, ascension mythique du Pays basque, où on devrait encore retrouver les meilleurs à l'avant. Cinq ascensions répertoriées rythment un tracé vallonné qui se faufile vers la mer Cantabrique en empruntant des routes souvent étroites et sinueuses.
"Ça peut être une revanche de la veille. La première partie de l'étape est assez simple. Mais le Jaizkibel est propice aux attaques parce qu'il est placé dans les vingt derniers kilomètres", explique le directeur de la course Thierry Gouvenou à l'AFP. Traditionnel juge de paix de la Clasica San-Sebastian, le Jaizkibel sera escaladé par son versant opposé, pour une montée plutôt exigeante de 8,1 km à 5,3% de moyenne. "L'avantage, c'est que la partie dure est dans le final. Et au sommet, on n'est qu'à 16 km de l'arrivée. Les équipiers du maillot jaune risquent de souffrir et il peut y avoir des opportunités d'attaque", analyse Gouvenou.
Une arrivée au sprint en petit comité est un scénario plausible avec des coureurs comme Wout Van Aert en position de force. Départ de Vitoria à 12h15 (13h15, heure de Beyrouth), arrivée à Saint-Sébastien vers 17h16 (18h16, heure de Beyrouth).
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