Le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, a mis en garde contre la prolongation des mandats du gouverneur de la banque centrale, Riad Salamé, et du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, ou encore la nomination de remplaçants par le gouvernement d’expédition des affaires courantes, à l’expiration de leurs mandats respectifs, le 31 juillet pour le gouverneur et en janvier 2024 pour le général Aoun.
Au cours d’une conférence de presse qu’il a tenue mardi, au terme de la réunion hebdomadaire du CPL, il a d’emblée critiqué le gouvernement qui «ose songer sérieusement à nommer un nouveau gouverneur de la banque centrale, un conseil militaire et un chef de l’armée, en l’absence d’un président de la République». Il n'a pas épargné non plus le général Joseph Aoun contre qui il mène campagne depuis plusieurs mois, ou plus exactement depuis que ce dernier fait partie des candidats potentiels sérieux à la tête de l'Etat.
Pour lui, la solution, pour la banque centrale, serait la nomination d’un administrateur judiciaire.
En ce qui concerne le mandat du commandant en chef de l’armée, le chef du CPL a préconisé «le respect de la hiérarchie» et mis en garde notamment contre «toute tentative de contourner le ministre de la Défense». «Ce serait un véritable coup d’État militaire que nous ne passerons pas sous silence», a-t-il menacé, s'adressant indirectement au commandant de la Troupe.
Au cours d’une conférence de presse qu’il a tenue mardi, au terme de la réunion hebdomadaire du CPL, il a d’emblée critiqué le gouvernement qui «ose songer sérieusement à nommer un nouveau gouverneur de la banque centrale, un conseil militaire et un chef de l’armée, en l’absence d’un président de la République». Il n'a pas épargné non plus le général Joseph Aoun contre qui il mène campagne depuis plusieurs mois, ou plus exactement depuis que ce dernier fait partie des candidats potentiels sérieux à la tête de l'Etat.
Pour lui, la solution, pour la banque centrale, serait la nomination d’un administrateur judiciaire.
En ce qui concerne le mandat du commandant en chef de l’armée, le chef du CPL a préconisé «le respect de la hiérarchie» et mis en garde notamment contre «toute tentative de contourner le ministre de la Défense». «Ce serait un véritable coup d’État militaire que nous ne passerons pas sous silence», a-t-il menacé, s'adressant indirectement au commandant de la Troupe.
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