Dans un communiqué qu’il a fait paraître dans l’après-midi au terme d’une réunion de son bureau politique, le mouvement Amal du chef du Législatif, Nabih Berry, a salué l’appel au dialogue national du président Michel Aoun, tout en rappelant qu’Amal et son chef étaient « des pionniers à ce niveau ». « Tout dialogue entre les composantes libanaises, indépendamment de son ordre du jour et de notre avis concernant son contenu, son timing, son importance et les priorités qu’il propose en cette période, est la bienvenue », souligne Amal qui a assuré participer à ces assises « afin de contribuer à trouver des solutions aux crises dans le pays ».
Ici-Beyrouth a cependant appris que Nabih Berry ne compte pas pour autant se rendre à Baabda, le conflit avec le camp présidentiel s’étant exacerbé récemment. Durant sa conférence de presse du 2 janvier, Gebran Bassil, le chef du Courant patriotique libre, fondé par le président Michel Aoun, avait vivement critiqué Amal et mis en cause l’alliance de ce mouvement avec le Hezbollah, responsable selon lui de l’ébranlement de l’accord de Mar Mikhaël.
De toute façon, plusieurs chefs de file politique dont notamment l’ancien Premier ministre, Saad Hariri, et le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, ont déjà fait savoir qu’ils ne participeront pas à ce dialogue qu’ils jugent inutiles avant les législatives de mai 2022.
Ici-Beyrouth a cependant appris que Nabih Berry ne compte pas pour autant se rendre à Baabda, le conflit avec le camp présidentiel s’étant exacerbé récemment. Durant sa conférence de presse du 2 janvier, Gebran Bassil, le chef du Courant patriotique libre, fondé par le président Michel Aoun, avait vivement critiqué Amal et mis en cause l’alliance de ce mouvement avec le Hezbollah, responsable selon lui de l’ébranlement de l’accord de Mar Mikhaël.
De toute façon, plusieurs chefs de file politique dont notamment l’ancien Premier ministre, Saad Hariri, et le leader des Forces libanaises, Samir Geagea, ont déjà fait savoir qu’ils ne participeront pas à ce dialogue qu’ils jugent inutiles avant les législatives de mai 2022.
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