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Le député des Forces libanaises Georges Okais a déclaré qu’il était trop tôt pour se prononcer sur la réussite ou l’échec de la réunion de Doha, puisqu’il n’est pas certain que les cinq États qui ont participé à ce sommet soient d’accord sur la marche à suivre pour résoudre la question de la vacance présidentielle.
M. Okais a estimé que le ton du communiqué à l’issue de la réunion était élevé, car il s’adressait notamment à ceux qui obstruent le processus démocratique au Liban. «Ce communiqué est un message clair au Hezbollah et à ses alliés puisque les Cinq leur font clairement comprendre qu’ils ne peuvent plus agir de la sorte lors des prochaines séances électorales, comme ils l'ont fait par le passé», a-t-il expliqué.
Dans un entretien accordé à Political Pulse sur This is Beirut, M. Okais a précisé que le communiqué a énoncé une position agressive envers le Hezb en lui faisant comprendre que le blocage du processus électoral pourrait conduire à l’imposition de sanctions à son encontre.
Le député FL de Zahlé a également souligné que les Libanais n’auront pas de président «avant septembre», précisant qu’il se pourrait que cette échéance soit encore reportée. «Le Hezb campe sur ses positions et tient à imposer le même candidat», a-t-il indiqué, même si les efforts internationaux reprennent en septembre, même si la seconde visite de l'envoyé français Jean-Yves Le Drian prévue pour la semaine prochaine «comble cette période».
Commentant le fait que le Liban soit devenu une république d’expédition des affaires courantes, M. Okais a expliqué que «ce scenario pourrait être prémédité». «Certaines parties veulent nous obliger à faire des concessions, mais nous tenons à mener une bataille démocratique sous l’égide de la loi. D’après expérience, le Hezbollah devient agressif lorsqu’il est mis au pied du mur», a-t-il ajouté.
Pour suivre l’intégralité de l’interview de Georges Okais sur This is Beirut, cliquez ici.
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Le député des Forces libanaises Georges Okais a déclaré qu’il était trop tôt pour se prononcer sur la réussite ou l’échec de la réunion de Doha, puisqu’il n’est pas certain que les cinq États qui ont participé à ce sommet soient d’accord sur la marche à suivre pour résoudre la question de la vacance présidentielle.
M. Okais a estimé que le ton du communiqué à l’issue de la réunion était élevé, car il s’adressait notamment à ceux qui obstruent le processus démocratique au Liban. «Ce communiqué est un message clair au Hezbollah et à ses alliés puisque les Cinq leur font clairement comprendre qu’ils ne peuvent plus agir de la sorte lors des prochaines séances électorales, comme ils l'ont fait par le passé», a-t-il expliqué.
Dans un entretien accordé à Political Pulse sur This is Beirut, M. Okais a précisé que le communiqué a énoncé une position agressive envers le Hezb en lui faisant comprendre que le blocage du processus électoral pourrait conduire à l’imposition de sanctions à son encontre.
Le député FL de Zahlé a également souligné que les Libanais n’auront pas de président «avant septembre», précisant qu’il se pourrait que cette échéance soit encore reportée. «Le Hezb campe sur ses positions et tient à imposer le même candidat», a-t-il indiqué, même si les efforts internationaux reprennent en septembre, même si la seconde visite de l'envoyé français Jean-Yves Le Drian prévue pour la semaine prochaine «comble cette période».
Commentant le fait que le Liban soit devenu une république d’expédition des affaires courantes, M. Okais a expliqué que «ce scenario pourrait être prémédité». «Certaines parties veulent nous obliger à faire des concessions, mais nous tenons à mener une bataille démocratique sous l’égide de la loi. D’après expérience, le Hezbollah devient agressif lorsqu’il est mis au pied du mur», a-t-il ajouté.
Pour suivre l’intégralité de l’interview de Georges Okais sur This is Beirut, cliquez ici.
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