Le ministre sortant de l’Économie Amin Salam a réitéré que les quantités de blé disponibles au Liban sont suffisantes et qu’un navire chargé de cette céréale arrivera à Beyrouth la semaine prochaine.
Il s’est montré rassurant en affirmant qu’aucune pénurie de blé n’est à craindre à court terme. Il a appelé "les Libanais à ne pas s'inquiéter au sujet de l'approvisionnement en blé suite au conflit entre la Russie et l'Ukraine et de ses répercussions sur les navires chargés de céréales en mer Noire".
Le ministre a rappelé que, dans le cadre du prêt que la Banque mondiale (BM) a octroyé au Liban pour soutenir l’importation de blé, un navire chargé de 28 000 tonnes de blé accostera au port de Beyrouth en début de semaine prochaine.
De son côté, le président du syndicat des importateurs de produits alimentaires, Hani Bohsali, s’est voulu également rassurant sur les éventuels risques d’une pénurie de blé. Il a indiqué qu’aucune crainte n’existe pour l’instant quant à l'approvisionnement du Liban en certaines denrées alimentaires parce que le Liban a d'autres sources d'importation de céréales que l'Ukraine.
Toutefois, il a prévu que la fin de cet accord “affectera négativement les marchés mondiaux, ce qui entraînera une hausse des prix de plusieurs produits, surtout le blé et les huiles”.
Il s’est montré rassurant en affirmant qu’aucune pénurie de blé n’est à craindre à court terme. Il a appelé "les Libanais à ne pas s'inquiéter au sujet de l'approvisionnement en blé suite au conflit entre la Russie et l'Ukraine et de ses répercussions sur les navires chargés de céréales en mer Noire".
Le ministre a rappelé que, dans le cadre du prêt que la Banque mondiale (BM) a octroyé au Liban pour soutenir l’importation de blé, un navire chargé de 28 000 tonnes de blé accostera au port de Beyrouth en début de semaine prochaine.
De son côté, le président du syndicat des importateurs de produits alimentaires, Hani Bohsali, s’est voulu également rassurant sur les éventuels risques d’une pénurie de blé. Il a indiqué qu’aucune crainte n’existe pour l’instant quant à l'approvisionnement du Liban en certaines denrées alimentaires parce que le Liban a d'autres sources d'importation de céréales que l'Ukraine.
Toutefois, il a prévu que la fin de cet accord “affectera négativement les marchés mondiaux, ce qui entraînera une hausse des prix de plusieurs produits, surtout le blé et les huiles”.
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