Le reste du monde : Depuis deux ans, le monde vit une drôle d’aventure. Enfin quand je dis drôle, je pense plutôt le contraire. Mais cela reste quand même un drôle de truc nous en conviendrons. Covid, c..ovidés, ovidés, moutons. Nous suivons les instructions en troupeau sans vraiment tout comprendre. Nous absorbons à une vitesse stupéfiante de nouveaux mots. Nous adoptons sans sourciller de nouveaux modes de vie. Et non, je ne suis pas anti-vaccins. Même si je reste persuadée, et cela n’engage que moi, que ce virus n’est pas arrivé tout seul, j’ai fait gentiment mes deux doses, oui monsieur. Et je vais faire la troisième dose de rappel, oui madame.
Mon indignation vient surtout de « comment on nous parle ». Comment on nous parle pour nous contraindre, nous obliger, nous mettre au pas, nous culpabiliser, nous faire obéir, nous « moutonnéiser ». Au lieu de nous consoler, nous soutenir, nous aider, nous rassurer en somme, ne voilà-t-il pas que l’on nous menace, nous punit, nous engueule. Nous sommes coupables. De quoi je me le demande. Pourtant comme de gentils moutons que nous sommes, nous avons fait ce qu’il fallait faire. Porter le masque, se confiner, faire des tests encore et encore, ne plus aller au restaurant, au théâtre, au cinéma, aux spectacles. Se tenir à distance, ne plus se voir, sortir à pas feutrés, raser les murs, s’excuser d’être dehors, brandir son pass sanitaire, son pass vaccinal.
Mais on nous engueule toujours. C’est pas assez. C’est jamais assez. Et surtout, arme suprême, on nous fait peur. De plus en plus peur. Le variant aura des variants, les hôpitaux seront saturés, vous pourrez l’attraper plusieurs fois, les morts joncheront les rues, les aéroports vont fermer, les bureaux aussi, la ville aussi, les pays aussi, le monde entier va nous être interdit. Le loup est dans la bergerie. Et les moutons sont terrorisés. C…ovidés. Même pas le droit de poser une question. Même pas le droit de faire des panels de discussion. Même pas le droit de demander des explications. Même pas le droit de relayer certaines informations. Même pas le droit de demander une vraie enquête sur l’origine du virus. Même pas le droit de connaître la vérité. Juste le droit de se mettre en rang et d’avancer en distanciation et à reculons. Sans débordements. Mais attention messieurs les prédateurs, « il n’est pas toujours saison de tondre brebis et moutons » dit un vieux proverbe agricole et à force de tirer sur l’enclos, les moutons noirs vont se réveiller, bousculer tout le troupeau, briser toutes les barrières, et l’ordre établi de force dans la bergerie va exploser et, parole d’ouaille, ouille ça va faire mal.
Mon indignation vient surtout de « comment on nous parle ». Comment on nous parle pour nous contraindre, nous obliger, nous mettre au pas, nous culpabiliser, nous faire obéir, nous « moutonnéiser ». Au lieu de nous consoler, nous soutenir, nous aider, nous rassurer en somme, ne voilà-t-il pas que l’on nous menace, nous punit, nous engueule. Nous sommes coupables. De quoi je me le demande. Pourtant comme de gentils moutons que nous sommes, nous avons fait ce qu’il fallait faire. Porter le masque, se confiner, faire des tests encore et encore, ne plus aller au restaurant, au théâtre, au cinéma, aux spectacles. Se tenir à distance, ne plus se voir, sortir à pas feutrés, raser les murs, s’excuser d’être dehors, brandir son pass sanitaire, son pass vaccinal.
Mais on nous engueule toujours. C’est pas assez. C’est jamais assez. Et surtout, arme suprême, on nous fait peur. De plus en plus peur. Le variant aura des variants, les hôpitaux seront saturés, vous pourrez l’attraper plusieurs fois, les morts joncheront les rues, les aéroports vont fermer, les bureaux aussi, la ville aussi, les pays aussi, le monde entier va nous être interdit. Le loup est dans la bergerie. Et les moutons sont terrorisés. C…ovidés. Même pas le droit de poser une question. Même pas le droit de faire des panels de discussion. Même pas le droit de demander des explications. Même pas le droit de relayer certaines informations. Même pas le droit de demander une vraie enquête sur l’origine du virus. Même pas le droit de connaître la vérité. Juste le droit de se mettre en rang et d’avancer en distanciation et à reculons. Sans débordements. Mais attention messieurs les prédateurs, « il n’est pas toujours saison de tondre brebis et moutons » dit un vieux proverbe agricole et à force de tirer sur l’enclos, les moutons noirs vont se réveiller, bousculer tout le troupeau, briser toutes les barrières, et l’ordre établi de force dans la bergerie va exploser et, parole d’ouaille, ouille ça va faire mal.
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