L'Association des industriels libanais (ALI) a organisé un atelier sur la deuxième phase du projet Solid, qui est mis en œuvre en coopération avec BUSINESSMED (Union méditerranéenne des confédérations d’entreprises et avec le soutien de l'Union européenne pour promouvoir le dialogue social dans le sud de la Méditerranée. La seconde phase cible six groupes : les syndicats, les organisations patronales, les organisations de la société civile, les conseils sociaux, économiques et environnementaux, les collectivités locales et les associations professionnelles.
Le président de l'Association des industriels libanais, Salim Zeeni, a indiqué que cette réunion se déroule autour d’un thème principal, qui est le dialogue tripartite entre les employeurs, les travailleurs et la société civile, et son rôle dans la promotion de l'emploi au niveau national, en particulier compte tenu des défis de la situation sociale.
Il a considéré qu'une économie durable doit se construire sur des bases solides fondées sur la cohésion sociale et économique et a souligné l'importance du dialogue social.
Il a rappelé que le secteur de l’industrie libanais se hisse en seconde position après le secteur public concernant les opportunités d'emploi pour la jeunesse libanaise, notant que pendant la crise qui a frappé le pays, le secteur industriel a enregistré le taux le plus bas de migration de main-d'œuvre libanaise, qui a varié entre 1 et 2%, tandis que l'implantation de bon nombre d'usines et leurs expansions ont été enregistrées ce qui a entraîné la création de nouveaux emplois pour les Libanais. Le secteur a également pris l'initiative d'augmenter les salaires de ses ouvriers proportionnellement à la capacité de chaque usine, sans attendre une décision officielle quelconque.
L’industriel a salué l'esprit de responsabilité dont ont fait preuve « nos partenaires de production dans les circonstances difficiles que notre économie a traversées », louant le travail inlassable qu'ils accomplissent dans des conditions économiques et financières difficiles, exacerbées par la concurrence déloyale à laquelle nos institutions sont exposées.
Il a appelé à œuvrer pour aider également les institutions locales à pénétrer les marchés européens et en proposant des incitations économiques et de nouvelles procédures afin de permettre la création d'emplois dans le pays et d'arrêter le flux des talents vers les pays du Nord de la méditerranée.
Le président de l'Association des industriels libanais, Salim Zeeni, a indiqué que cette réunion se déroule autour d’un thème principal, qui est le dialogue tripartite entre les employeurs, les travailleurs et la société civile, et son rôle dans la promotion de l'emploi au niveau national, en particulier compte tenu des défis de la situation sociale.
Il a considéré qu'une économie durable doit se construire sur des bases solides fondées sur la cohésion sociale et économique et a souligné l'importance du dialogue social.
Il a rappelé que le secteur de l’industrie libanais se hisse en seconde position après le secteur public concernant les opportunités d'emploi pour la jeunesse libanaise, notant que pendant la crise qui a frappé le pays, le secteur industriel a enregistré le taux le plus bas de migration de main-d'œuvre libanaise, qui a varié entre 1 et 2%, tandis que l'implantation de bon nombre d'usines et leurs expansions ont été enregistrées ce qui a entraîné la création de nouveaux emplois pour les Libanais. Le secteur a également pris l'initiative d'augmenter les salaires de ses ouvriers proportionnellement à la capacité de chaque usine, sans attendre une décision officielle quelconque.
L’industriel a salué l'esprit de responsabilité dont ont fait preuve « nos partenaires de production dans les circonstances difficiles que notre économie a traversées », louant le travail inlassable qu'ils accomplissent dans des conditions économiques et financières difficiles, exacerbées par la concurrence déloyale à laquelle nos institutions sont exposées.
Il a appelé à œuvrer pour aider également les institutions locales à pénétrer les marchés européens et en proposant des incitations économiques et de nouvelles procédures afin de permettre la création d'emplois dans le pays et d'arrêter le flux des talents vers les pays du Nord de la méditerranée.
Lire aussi
Commentaires