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- Bassil veut sanctionner les “frondeurs” au sein du CPL
«Je suis seul maître à bord»… C’est en substance le discours que semble tenir le chef du Courant patriotique libre et député de Batroun, Gebran Bassil, face aux «frondeurs» (et ils sont nombreux…) au sein du CPL.
M. Bassil ne cache pas en effet son irritation au sujet des prises de position de certains députés aounistes concernant des dossiers cruciaux qui sont au centre du débat national. Le chef du CPL n’apprécie pas le fait que les positions de ces députés sont en contradiction avec sa propre ligne de conduite. Plus grave encore, les députés «frondeurs» dénoncent les tergiversations de M. Bassil au niveau de la présidentielle et ses manœuvres dilatoires oscillant entre le courant souverainiste et le Hezbollah, en fonction des circonstances. Ils réclament de ce fait la tenue de réunions entre les parlementaires du CPL afin d’élaborer une feuille de route claire pour la prochaine étape de la présidentielle.
M. Bassil ne semble pas, toutefois, vouloir tendre la main aux contestataires. Il aurait ainsi l’intention de saisir les «instances» du CPL pour imposer des sanctions aux députés frondeurs qui n’ont pas respecté ses consignes de vote lors de la dernière séance parlementaire pour l’élection du président de la République. Le député de Batroun affiche sa détermination à «sévir» malgré l’opposition de son beau-père, l’ancien président Michel Aoun, qui rejette toute idée de «sanctions» contre les députés frondeurs, mettant en garde contre les retombées d’une telle démarche.
M. Bassil ne cache pas en effet son irritation au sujet des prises de position de certains députés aounistes concernant des dossiers cruciaux qui sont au centre du débat national. Le chef du CPL n’apprécie pas le fait que les positions de ces députés sont en contradiction avec sa propre ligne de conduite. Plus grave encore, les députés «frondeurs» dénoncent les tergiversations de M. Bassil au niveau de la présidentielle et ses manœuvres dilatoires oscillant entre le courant souverainiste et le Hezbollah, en fonction des circonstances. Ils réclament de ce fait la tenue de réunions entre les parlementaires du CPL afin d’élaborer une feuille de route claire pour la prochaine étape de la présidentielle.
M. Bassil ne semble pas, toutefois, vouloir tendre la main aux contestataires. Il aurait ainsi l’intention de saisir les «instances» du CPL pour imposer des sanctions aux députés frondeurs qui n’ont pas respecté ses consignes de vote lors de la dernière séance parlementaire pour l’élection du président de la République. Le député de Batroun affiche sa détermination à «sévir» malgré l’opposition de son beau-père, l’ancien président Michel Aoun, qui rejette toute idée de «sanctions» contre les députés frondeurs, mettant en garde contre les retombées d’une telle démarche.
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