Les réactions aux heurts entre le Hezbollah et les habitants de Kahalé se poursuivaient samedi.
Pendant que le Hezbollah continuait de jouer à la victime, en considérant que son camion chargé d’armes et de munitions illégales et ses miliciens armés ont été «agressés», l’opposition réaffirmait son ras-le-bol face à une situation anormale: celle d’une formation armée qui veut imposer sa loi et avec laquelle il devient de plus en plus difficile de cohabiter.
Le député Kataëb, Salim Sayegh, l’a relevé en soulignant, dans un entretien avec la Voix du Liban, que les forces de l’opposition «doivent comprendre qu’elles font face à la culture du Hezbollah et que par conséquent il n’y a pas de place pour une recherche de compromis».
Il a quand même estimé que le Hezbollah «est devenu faible et n’a plus de cause à défendre après la délimitation des frontières» maritimes avec Israël. C’est pour cela qu’il recourt, selon lui, à une démonstration de force.
Ziad Hawat, député membre du bloc des Forces Libanaises (FL) a affirmé pour sa part, que la confrontation avec le Hezbollah est «désormais ouverte» et que «tout serait mis en œuvre pour empêcher l’arrivée d’un président issu de l’axe de la moumanaa».
Dans un entretien avec la chaîne Al-Jadeed, M. Hawat a rajouté que le Hezbollah «n’évolue plus dans une atmosphère favorable à ses armes» et qu’«il ne peut pas s’imposer par la force».
Quant au député du changement, Mark Daou, il a insisté sur la nécessité de traduire en justice les responsables du crime de Kahalé, en faisant référence aux miliciens du Hezbollah.
Dans un entretien accordé à la radio Liban Libre, M. Daou a déclaré n’avoir pas encore eu vent de convocation par la justice à l’encontre de ceux qui ont tiré contre les habitants de Kahalé. «L’État doit avoir un monopole sur les armes, sinon nous resterons engagés dans une bataille ouverte» avec le Hezbollah.
Un autre député du changement, Waddah Sadek, a précisé qu’il ne peut y avoir de solution en dehors du cadre de l’État, de la constitution et de la loi. «Nous devons tous agir en partenaires et en citoyens égaux en droits et en devoirs. Personne n’acceptera de devenir un citoyen de 2e classe», a-t-il dit.
Pendant que le Hezbollah continuait de jouer à la victime, en considérant que son camion chargé d’armes et de munitions illégales et ses miliciens armés ont été «agressés», l’opposition réaffirmait son ras-le-bol face à une situation anormale: celle d’une formation armée qui veut imposer sa loi et avec laquelle il devient de plus en plus difficile de cohabiter.
Le député Kataëb, Salim Sayegh, l’a relevé en soulignant, dans un entretien avec la Voix du Liban, que les forces de l’opposition «doivent comprendre qu’elles font face à la culture du Hezbollah et que par conséquent il n’y a pas de place pour une recherche de compromis».
Il a quand même estimé que le Hezbollah «est devenu faible et n’a plus de cause à défendre après la délimitation des frontières» maritimes avec Israël. C’est pour cela qu’il recourt, selon lui, à une démonstration de force.
Ziad Hawat, député membre du bloc des Forces Libanaises (FL) a affirmé pour sa part, que la confrontation avec le Hezbollah est «désormais ouverte» et que «tout serait mis en œuvre pour empêcher l’arrivée d’un président issu de l’axe de la moumanaa».
Dans un entretien avec la chaîne Al-Jadeed, M. Hawat a rajouté que le Hezbollah «n’évolue plus dans une atmosphère favorable à ses armes» et qu’«il ne peut pas s’imposer par la force».
Quant au député du changement, Mark Daou, il a insisté sur la nécessité de traduire en justice les responsables du crime de Kahalé, en faisant référence aux miliciens du Hezbollah.
Dans un entretien accordé à la radio Liban Libre, M. Daou a déclaré n’avoir pas encore eu vent de convocation par la justice à l’encontre de ceux qui ont tiré contre les habitants de Kahalé. «L’État doit avoir un monopole sur les armes, sinon nous resterons engagés dans une bataille ouverte» avec le Hezbollah.
Un autre député du changement, Waddah Sadek, a précisé qu’il ne peut y avoir de solution en dehors du cadre de l’État, de la constitution et de la loi. «Nous devons tous agir en partenaires et en citoyens égaux en droits et en devoirs. Personne n’acceptera de devenir un citoyen de 2e classe», a-t-il dit.
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