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La Marine américaine a averti les navires navigants dans le Golfe de ne pas se rapprocher des eaux iraniennes pour éviter une éventuelle saisie. Cette alerte intervient après les récentes saisies par l'Iran de plusieurs pétroliers navigants dans la zone du détroit d'Ormuz où transite le cinquième du brut mondial.
Une coalition navale dirigée par les États-Unis dans le Golfe a averti les navires de la région de rester à l'écart des eaux iraniennes.
"L'International Maritime Security Construct informe les navires régionaux de prendre des précautions et de transiter aussi loin que possible des eaux territoriales iraniennes afin de minimiser le risque de saisie", a déclaré samedi le commandant Timothy Hawkins, porte-parole de la Cinquième flotte des États-Unis basée à Bahreïn, relayé par l'agence Reuters et plusieurs médias régionaux.
Le porte-parole a évoqué le climat de "tensions régionales actuelles, que nous cherchons à désamorcer".
Cet avertissement intervient alors que Washington et Téhéran finalisent un accord pour libérer cinq citoyens américains détenus en Iran. Il témoigne du degré de tension élevée qui subsiste autour du détroit d'Ormuz, où l'Iran a saisi des pétroliers fin avril et début mai.
Environ un cinquième du pétrole brut mondial transite par le détroit d'Ormuz, porte d'entrée du Golfe bordé par des territoires iraniens et omanais.
Georges Haddad, avec Reuters
Une coalition navale dirigée par les États-Unis dans le Golfe a averti les navires de la région de rester à l'écart des eaux iraniennes.
"L'International Maritime Security Construct informe les navires régionaux de prendre des précautions et de transiter aussi loin que possible des eaux territoriales iraniennes afin de minimiser le risque de saisie", a déclaré samedi le commandant Timothy Hawkins, porte-parole de la Cinquième flotte des États-Unis basée à Bahreïn, relayé par l'agence Reuters et plusieurs médias régionaux.
Le porte-parole a évoqué le climat de "tensions régionales actuelles, que nous cherchons à désamorcer".
Cet avertissement intervient alors que Washington et Téhéran finalisent un accord pour libérer cinq citoyens américains détenus en Iran. Il témoigne du degré de tension élevée qui subsiste autour du détroit d'Ormuz, où l'Iran a saisi des pétroliers fin avril et début mai.
Environ un cinquième du pétrole brut mondial transite par le détroit d'Ormuz, porte d'entrée du Golfe bordé par des territoires iraniens et omanais.
Georges Haddad, avec Reuters
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