Avec ses joueuses d'expérience Lucy Bronze et sa capitaine Millie Bright, l'Angleterre, qui joue sa première finale lors d'un Mondial contre l'Espagne, après deux demi-finale perdues, s'appuiera sur son vécu face à une équipe jeune et novice dans une phase finale de grandes compétitions.
"On sait comment gagner les finales, l'Espagne ne sait pas", a lancé la défenseure anglaise Lucy Bronze, championne d'Europe avec l'Angleterre à domicile à Wembley l'année dernière.
"Gagner l'Euro l'année dernière nous a donné beaucoup de confiance. Cette année, nous avons perdu des joueuses importantes (Beth Mead, Leah Williamson..., NDLR), mais cela nous a rassemblé encore plus", a poursuivi l'ancienne Lyonnaise, qui a cumulé expérience et trophées à l'OL.
Au-delà de ce titre européen, la Barcelonaise, qui connaît de nombreuses joueuses de la Roja, a vécu deux éliminations en demi-finales de Mondial, avant de parvenir à la finale mercredi, qui a une saveur particulière pour elle.
"La seule chose que j'ai toujours voulu faire, c'est d'accéder à une finale de Coupe du monde", a-t-elle insisté après la demi-finale mercredi soir.
"2015 a été dur à cause de ce qu'il s'est passé avec ce but contre-son-camp dans les dernières minutes du match", se souvient-elle, en référence à l'élimination cruelle face au Japon.
"En 2019, pour moi, c'était un crève-cœur car c'était sans doute ma meilleure année en football. Et tout était censé aller bien, et on a perdu cette demi-finale, ça a été vraiment difficile au niveau personnel. On l'a finalement fait cette année", s'est réjouie la joueuse de 31 ans.
Contre l'Australie en demi-finale, les joueuses de Sarina Wiegman ont d'ailleurs montré tout leur calme et leur vécu des grandes compétitions. Surtout au moment de l'égalisation de la star Sam Kerr d'une frappe sublime de 24 mètres, qui a réveillé les 75.000 fans "Aussie" de l'Australia Stadium. En un quart d'heure, Lauren Hemp et Alessia Russo ont éteint le stade et anéanti tout espoir des "Matildas".
"Nous avons prouvé quelque chose"
Comme face à la Colombie en quart de finale, portée par un public bruyant et qui a rempli les stades, les Anglaises ont su maîtriser leurs émotions et être efficaces quand il le fallait, malgré l'ouverture du score des "Cafeteras".
L'équipe s'est également appuyée sur l'expérience de la capitaine des Lionnes Millie Bright (29 ans), notamment pour faire face aux blessures et à l'évolution permanente de l'effectif pendant le tournoi.
"À chaque match, nous avons prouvé quelque chose de différent dans notre façon de jouer, ce dont nous sommes capables. Nous sommes capables de nous adapter à ce que les équipes nous proposent", a expliqué la défenseure centrale de Chelsea.
En plus de l'expérience de ses cadres, Sarina Wiegman pourra donc aussi s'appuyer sur la jeunesse et le duo inattendu entre Alessia Russo et Lauren Hemp, buteuses en demi-finale contre l'Australie, qui ont fait oublier la meneuse de jeu de Chelsea Lauren James, suspendue pour un mauvais geste contre le Nigeria en huitième de finale. La pépite anglaise sera de retour de suspension en finale dimanche contre l'Espagne.
Frappée par les blessures avant le tournoi de Leah Williamson et Beth Mead, deux cadres des Lionnes, la sélectionneuse a finalement l'embarras du choix pour un rêve de doublé historique, Euro et Coupe du monde.
"On sait comment gagner les finales, l'Espagne ne sait pas", a lancé la défenseure anglaise Lucy Bronze, championne d'Europe avec l'Angleterre à domicile à Wembley l'année dernière.
"Gagner l'Euro l'année dernière nous a donné beaucoup de confiance. Cette année, nous avons perdu des joueuses importantes (Beth Mead, Leah Williamson..., NDLR), mais cela nous a rassemblé encore plus", a poursuivi l'ancienne Lyonnaise, qui a cumulé expérience et trophées à l'OL.
Au-delà de ce titre européen, la Barcelonaise, qui connaît de nombreuses joueuses de la Roja, a vécu deux éliminations en demi-finales de Mondial, avant de parvenir à la finale mercredi, qui a une saveur particulière pour elle.
"La seule chose que j'ai toujours voulu faire, c'est d'accéder à une finale de Coupe du monde", a-t-elle insisté après la demi-finale mercredi soir.
"2015 a été dur à cause de ce qu'il s'est passé avec ce but contre-son-camp dans les dernières minutes du match", se souvient-elle, en référence à l'élimination cruelle face au Japon.
"En 2019, pour moi, c'était un crève-cœur car c'était sans doute ma meilleure année en football. Et tout était censé aller bien, et on a perdu cette demi-finale, ça a été vraiment difficile au niveau personnel. On l'a finalement fait cette année", s'est réjouie la joueuse de 31 ans.
Contre l'Australie en demi-finale, les joueuses de Sarina Wiegman ont d'ailleurs montré tout leur calme et leur vécu des grandes compétitions. Surtout au moment de l'égalisation de la star Sam Kerr d'une frappe sublime de 24 mètres, qui a réveillé les 75.000 fans "Aussie" de l'Australia Stadium. En un quart d'heure, Lauren Hemp et Alessia Russo ont éteint le stade et anéanti tout espoir des "Matildas".
"Nous avons prouvé quelque chose"
Comme face à la Colombie en quart de finale, portée par un public bruyant et qui a rempli les stades, les Anglaises ont su maîtriser leurs émotions et être efficaces quand il le fallait, malgré l'ouverture du score des "Cafeteras".
L'équipe s'est également appuyée sur l'expérience de la capitaine des Lionnes Millie Bright (29 ans), notamment pour faire face aux blessures et à l'évolution permanente de l'effectif pendant le tournoi.
"À chaque match, nous avons prouvé quelque chose de différent dans notre façon de jouer, ce dont nous sommes capables. Nous sommes capables de nous adapter à ce que les équipes nous proposent", a expliqué la défenseure centrale de Chelsea.
En plus de l'expérience de ses cadres, Sarina Wiegman pourra donc aussi s'appuyer sur la jeunesse et le duo inattendu entre Alessia Russo et Lauren Hemp, buteuses en demi-finale contre l'Australie, qui ont fait oublier la meneuse de jeu de Chelsea Lauren James, suspendue pour un mauvais geste contre le Nigeria en huitième de finale. La pépite anglaise sera de retour de suspension en finale dimanche contre l'Espagne.
Frappée par les blessures avant le tournoi de Leah Williamson et Beth Mead, deux cadres des Lionnes, la sélectionneuse a finalement l'embarras du choix pour un rêve de doublé historique, Euro et Coupe du monde.
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