Les forces aériennes israéliennes ont frappé des positions militaires pro-Téhéran près de Damas lundi soir, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
Deux combattants prorégime ont été tués dans des frappes aériennes israéliennes contre des positions militaires de milices pro-Téhéran lundi soir près de Damas, a indiqué une ONG.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), "deux combattants prorégime ont été tués, dans des frappes israéliennes contre des positions militaires au sud-ouest et sud-est de la capitale".
"Des missiles israéliens ont détruit des entrepôts d'armes des milices pro-iraniennes et du Hezbollah libanais à quelques kilomètres de l'aéroport international de Damas et dans la périphérie de Kiswé, a ajouté l'OSDH.
L'ONG, basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, n'avait pas fait état de victimes dans un premier temps.
"Vers 23H05 (...), l'ennemi israélien a mené une agression avec des missiles envoyés depuis le Golan syrien occupé, ciblant plusieurs positions dans les environs de Damas, blessant un soldat et causant des dégâts matériels", a indiqué de son côté l'agence officielle Sana, citant une source militaire.
Sana avait précédemment indiqué que la défense aérienne syrienne avait "intercepté des cibles hostiles dans les alentours de Damas", sans plus de précisions.
Mi-août, de fortes explosions avaient eu lieu durant la nuit dans des dépôts de missiles de milices pro-iraniennes situés près de Damas, causant des dégâts matériels, selon l'OSDH.
Une semaine avant, toujours dans la périphérie de la capitale, des frappes israéliennes sur des positions militaires et des dépôts d'armes, notamment près de Kiswé, avaient causé la mort de quatre militaires syriens et deux combattants des milices pro-iraniennes, alliées du régime syrien selon la même source.
Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes aériennes contre des positions du régime syrien ainsi que des forces iraniennes et du Hezbollah, alliés de Damas et ennemis jurés d'Israël.
Israël commente rarement ces frappes au cas par cas, mais affirme vouloir empêcher l'Iran de s'implanter à ses portes.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Deux combattants prorégime ont été tués dans des frappes aériennes israéliennes contre des positions militaires de milices pro-Téhéran lundi soir près de Damas, a indiqué une ONG.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), "deux combattants prorégime ont été tués, dans des frappes israéliennes contre des positions militaires au sud-ouest et sud-est de la capitale".
"Des missiles israéliens ont détruit des entrepôts d'armes des milices pro-iraniennes et du Hezbollah libanais à quelques kilomètres de l'aéroport international de Damas et dans la périphérie de Kiswé, a ajouté l'OSDH.
L'ONG, basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, n'avait pas fait état de victimes dans un premier temps.
"Vers 23H05 (...), l'ennemi israélien a mené une agression avec des missiles envoyés depuis le Golan syrien occupé, ciblant plusieurs positions dans les environs de Damas, blessant un soldat et causant des dégâts matériels", a indiqué de son côté l'agence officielle Sana, citant une source militaire.
Sana avait précédemment indiqué que la défense aérienne syrienne avait "intercepté des cibles hostiles dans les alentours de Damas", sans plus de précisions.
Mi-août, de fortes explosions avaient eu lieu durant la nuit dans des dépôts de missiles de milices pro-iraniennes situés près de Damas, causant des dégâts matériels, selon l'OSDH.
Une semaine avant, toujours dans la périphérie de la capitale, des frappes israéliennes sur des positions militaires et des dépôts d'armes, notamment près de Kiswé, avaient causé la mort de quatre militaires syriens et deux combattants des milices pro-iraniennes, alliées du régime syrien selon la même source.
Depuis le début de la guerre en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes aériennes contre des positions du régime syrien ainsi que des forces iraniennes et du Hezbollah, alliés de Damas et ennemis jurés d'Israël.
Israël commente rarement ces frappes au cas par cas, mais affirme vouloir empêcher l'Iran de s'implanter à ses portes.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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