Les États-Unis se lancent dans la campagne pour les élections présidentielles de 2024. Au soir du 23 août, les républicains ont tenu leur premier débat, retransmis par la chaîne Fox News. Au menu, les thématiques préférées de la droite, mais surtout Trump. Grand absent de l'évènement, l'ancien président était cependant dans toutes les bouches.
Inflation, insécurité, avortement... mais surtout Trump: les candidats républicains à la présidentielle américaine de 2024 se sont écharpés mercredi lors du premier débat de la campagne, sans l'ancien président, cerné par les enquêtes et bien décidé à jouer les trouble-fête.
Les quatre inculpations du tempétueux milliardaire, qui font l'objet d'une attention médiatique vertigineuse, ont donné lieu aux échanges les plus acrimonieux entre les huit personnes sur l'estrade.
Mais aussi à une séquence des plus étranges: à la question de savoir si Donald Trump devrait se voir confier les clés de la Maison Blanche, même s'il était condamné pénalement en justice, tous les candidats - sauf deux - ont levé la main, de façon plutôt hésitante.
Y compris Ron DeSantis, le principal rival de l'ancien président, mais dont le statut d'étoile montante de la droite dure a été fortement remis en cause ces dernières semaines.
"Il est grand temps d'arrêter de normaliser son comportement", a au contraire déclaré Chris Christie, un des candidats les plus critiques de Donald Trump, mais qui a été vivement hué par le public.
Avec AFP
Inflation, insécurité, avortement... mais surtout Trump: les candidats républicains à la présidentielle américaine de 2024 se sont écharpés mercredi lors du premier débat de la campagne, sans l'ancien président, cerné par les enquêtes et bien décidé à jouer les trouble-fête.
Les quatre inculpations du tempétueux milliardaire, qui font l'objet d'une attention médiatique vertigineuse, ont donné lieu aux échanges les plus acrimonieux entre les huit personnes sur l'estrade.
Mais aussi à une séquence des plus étranges: à la question de savoir si Donald Trump devrait se voir confier les clés de la Maison Blanche, même s'il était condamné pénalement en justice, tous les candidats - sauf deux - ont levé la main, de façon plutôt hésitante.
Y compris Ron DeSantis, le principal rival de l'ancien président, mais dont le statut d'étoile montante de la droite dure a été fortement remis en cause ces dernières semaines.
"Il est grand temps d'arrêter de normaliser son comportement", a au contraire déclaré Chris Christie, un des candidats les plus critiques de Donald Trump, mais qui a été vivement hué par le public.
Avec AFP
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