Avant la délimitation des frontières maritimes avec Israël, le Liban n'avait aucune donnée concernant le bloc numéro 8. Une fois cette délimitation accomplie, on a désormais la possibilité de recueillir ces données grâce aux relevés sismiques. Aussi, un accord a été conclu avec la société Geoscience Brigthskies pour mener à bien cette opération, comme l'a annoncé le ministre sortant de l'Énergie, Walid Fayad.
Les informations ont indiqué que le Liban pourrait tirer plusieurs avantages de ces relevés, et sur plusieurs plans.
Tout d'abord, ces données pourraient être vendues aux entreprises intéressées par le secteur pétrolier et gazier au Liban, qui souhaiteraient par ailleurs participer à la seconde phase d’octroi de licences.
Deuxièmement, si ces relevés révèlent des données prometteuses sur les gisements de gaz et de pétrole, l’État libanais pourra augmenter la valeur de l’adjudication de ce bloc, surtout si les travaux de forage dans le bloc numéro 9 aboutissent à une découverte commerciale.
Ces relevés pourraient également révéler l'existence de gisements communs de pétrole et de gaz avec Chypre et Israël.
Enfin, ils pourraient montrer si les couches du champ de Tamar israélien s'étendent jusqu'au bloc numéro 8, ainsi qu'aux blocs 6 et 5.
Des sources au sein de l'Autorité de gestion du secteur pétrolier se sont déclarées satisfaites de cette initiative qui, par ailleurs, coïncide avec le début des opérations de forage dans le bloc numéro 9. Cette activité est censée être une motivation aux deux niveaux, national et international, pour placer les intérêts du pays en priorité et d’œuvrer à les garantir, surtout si les résultats du forage aboutissent à des découvertes commerciales.
Certains observateurs ont exprimé leur surprise quant à la réaction des responsables et des dirigeants libanais au commencement des opérations de forage. En effet, les éloges et parades sur la plateforme de forage ne suffisent pas. En fait, il est nécessaire de sortir le Liban de son état de déliquescence pour en faire un État fort, efficace et transparent, conscient de ses intérêts ainsi que de ceux de son peuple.
Dans ce contexte, il convient de noter que les indices laissent penser que ceux qui épient les revenus du secteur pétrolier et gazier ne conduiront pas le Liban vers le modèle norvégien. Ils semblent plutôt déterminés à le faire ressembler à l'Irak, au Venezuela et au Nigeria.
Les informations ont indiqué que le Liban pourrait tirer plusieurs avantages de ces relevés, et sur plusieurs plans.
Tout d'abord, ces données pourraient être vendues aux entreprises intéressées par le secteur pétrolier et gazier au Liban, qui souhaiteraient par ailleurs participer à la seconde phase d’octroi de licences.
Deuxièmement, si ces relevés révèlent des données prometteuses sur les gisements de gaz et de pétrole, l’État libanais pourra augmenter la valeur de l’adjudication de ce bloc, surtout si les travaux de forage dans le bloc numéro 9 aboutissent à une découverte commerciale.
Ces relevés pourraient également révéler l'existence de gisements communs de pétrole et de gaz avec Chypre et Israël.
Enfin, ils pourraient montrer si les couches du champ de Tamar israélien s'étendent jusqu'au bloc numéro 8, ainsi qu'aux blocs 6 et 5.
Des sources au sein de l'Autorité de gestion du secteur pétrolier se sont déclarées satisfaites de cette initiative qui, par ailleurs, coïncide avec le début des opérations de forage dans le bloc numéro 9. Cette activité est censée être une motivation aux deux niveaux, national et international, pour placer les intérêts du pays en priorité et d’œuvrer à les garantir, surtout si les résultats du forage aboutissent à des découvertes commerciales.
Certains observateurs ont exprimé leur surprise quant à la réaction des responsables et des dirigeants libanais au commencement des opérations de forage. En effet, les éloges et parades sur la plateforme de forage ne suffisent pas. En fait, il est nécessaire de sortir le Liban de son état de déliquescence pour en faire un État fort, efficace et transparent, conscient de ses intérêts ainsi que de ceux de son peuple.
Dans ce contexte, il convient de noter que les indices laissent penser que ceux qui épient les revenus du secteur pétrolier et gazier ne conduiront pas le Liban vers le modèle norvégien. Ils semblent plutôt déterminés à le faire ressembler à l'Irak, au Venezuela et au Nigeria.
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