Le premier vice-gouverneur de la Banque du Liban (BDL), Wassim Mansouri, qui assure l'intérim à la tête de la banque centrale, a réitéré dans une interview diffusée sur la chaîne de télévision Al-Arabiya que la décision de ne plus financer l’État «ni en livres libanaises ni en dollars» était définitive. «L'État doit trouver des moyens pour financer le déficit de son budget», a-t-il assuré.
Samedi, dans un entretien accordé au journal Asharq al-Awsat, il avait également affirmé qu'il «ne prêterait pas l'argent du peuple à l'État libanais».
Rappelons, dans ce contexte, que depuis la prise de ses fonctions le 1er août, après la fin du mandat du gouverneur, Riad Salamé, M. Mansouri n’a de cesse de dire qu’il n’avancerait plus d’argent à l’État sans que les réformes nécessaires ne soient mises en place.
Le premier vice-gouverneur a accordé des interviews à des médias arabes, en marge de sa participation à un congrès bancaire arabe, organisé par l'Union arabe des banques, conjointement avec la banque centrale saoudienne. Il avait été officiellement invité par Riyad à représenter le Liban à ces assises. L'invitation lui avait été transmise par l'ambassadeur d'Arabie saoudite à Beyrouth, Walid Boukhari. M. Mansouri est accompagné du directeur général du ministère de l'Économie et du Commerce, Mohammad Abou Haydar, ainsi que de l'ambassadeur du Liban à Riyad, Fawzi Kabbara.
Dans son intervention durant le congrès, M. Mansouri a détaillé les grandes lignes de sa politique et réaffirmé son attachement à la réalisation de réformes, avant d'annoncer le lancement d'une nouvelle plateforme de change, a indiqué la chaîne locale, MTV. L'annonce de la plateforme commerciale, qui sera gérée par Bloomberg, est prévue pour mercredi, selon la MTV qui a indiqué que M. Mansouri a eu un long entretien avec le gouverneur de la banque centrale saoudienne, ainsi qu'avec des investisseurs et des hommes d'affaires saoudiens et des gouverneurs de banques centrales arabes.
Samedi, dans un entretien accordé au journal Asharq al-Awsat, il avait également affirmé qu'il «ne prêterait pas l'argent du peuple à l'État libanais».
Rappelons, dans ce contexte, que depuis la prise de ses fonctions le 1er août, après la fin du mandat du gouverneur, Riad Salamé, M. Mansouri n’a de cesse de dire qu’il n’avancerait plus d’argent à l’État sans que les réformes nécessaires ne soient mises en place.
Le premier vice-gouverneur a accordé des interviews à des médias arabes, en marge de sa participation à un congrès bancaire arabe, organisé par l'Union arabe des banques, conjointement avec la banque centrale saoudienne. Il avait été officiellement invité par Riyad à représenter le Liban à ces assises. L'invitation lui avait été transmise par l'ambassadeur d'Arabie saoudite à Beyrouth, Walid Boukhari. M. Mansouri est accompagné du directeur général du ministère de l'Économie et du Commerce, Mohammad Abou Haydar, ainsi que de l'ambassadeur du Liban à Riyad, Fawzi Kabbara.
Dans son intervention durant le congrès, M. Mansouri a détaillé les grandes lignes de sa politique et réaffirmé son attachement à la réalisation de réformes, avant d'annoncer le lancement d'une nouvelle plateforme de change, a indiqué la chaîne locale, MTV. L'annonce de la plateforme commerciale, qui sera gérée par Bloomberg, est prévue pour mercredi, selon la MTV qui a indiqué que M. Mansouri a eu un long entretien avec le gouverneur de la banque centrale saoudienne, ainsi qu'avec des investisseurs et des hommes d'affaires saoudiens et des gouverneurs de banques centrales arabes.
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