Après le coup d'État du 30 août au Gabon, les activités des soldats français dans le pays reprennent progressivement, selon le ministère français des Armées.
Les activités des quelque 400 soldats français au Gabon, suspendues après le coup d'État du 30 août à Libreville, reprennent de façon progressive dans le pays, a annoncé lundi le ministère français des Armées qui a tenu à différencier le coup d'État au Gabon de celui du Niger du 26 juillet.
Les "éléments français au Gabon" participent à la protection des ressortissants français, se tiennent prêts à venir en renfort d'opérations et coopèrent avec les armées nationales gabonaises et de pays voisins comme le Cameroun pour des exercices ou des formations.
Le 30 août, l'armée a renversé Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, quelques instants après qu'il a été proclamé réélu au terme d'une élection jugée frauduleuse par les militaires et l'opposition.
Un délai de deux ans avant les élections libres promises par les militaires est un "objectif raisonnable", a estimé dimanche auprès de l'AFP le Premier ministre civil de transition gabonais, Raymond Ndong Sima.
Maria Chami avec AFP
Les activités des quelque 400 soldats français au Gabon, suspendues après le coup d'État du 30 août à Libreville, reprennent de façon progressive dans le pays, a annoncé lundi le ministère français des Armées qui a tenu à différencier le coup d'État au Gabon de celui du Niger du 26 juillet.
Les "éléments français au Gabon" participent à la protection des ressortissants français, se tiennent prêts à venir en renfort d'opérations et coopèrent avec les armées nationales gabonaises et de pays voisins comme le Cameroun pour des exercices ou des formations.
Le 30 août, l'armée a renversé Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 14 ans, quelques instants après qu'il a été proclamé réélu au terme d'une élection jugée frauduleuse par les militaires et l'opposition.
Un délai de deux ans avant les élections libres promises par les militaires est un "objectif raisonnable", a estimé dimanche auprès de l'AFP le Premier ministre civil de transition gabonais, Raymond Ndong Sima.
Maria Chami avec AFP
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