Les autorités chypriotes s’inquiètent du nombre croissant de réfugiés syriens au Liban et sur l’île. Elles demandent à l’Union européenne (UE) de réévaluer la situation sécuritaire de la Syrie.
Le ministre chypriote de l’Intérieur, Konstantínos Ioánnou, a évoqué samedi la nécessité de venir en aide au Liban qui a déjà accueilli près de 2,5 millions de réfugiés syriens, dans une lettre adressée à la vice-présidente de la Commission européenne, Margrethe Vestager.
M. Ioánnou a estimé que le sort de Chypre est lié à celui du Liban, surtout avec "l’accroissement récent du nombre de déplacés au Liban". Et d’ajouter: "Le Liban est un barrage. S’il s’effondre, toute l’Europe sera confrontée à un problème."
Les autorités de Chypre, membre de l’Union européenne (UE), ont annoncé avoir demandé à l'instance régionale de réexaminer le statut de la Syrie comme "État non sécurisé", statut qui empêche le retour des réfugiés syriens dans leur pays.
D’ailleurs, M. Ioánnou a affirmé qu’il tenterait de convaincre l'UE et les Nations unies de mettre fin à la classification de la Syrie en tant que pays non sûr où les réfugiés ne peuvent pas retourner.
Le ministre chypriote de l’Intérieur, Konstantínos Ioánnou, a évoqué samedi la nécessité de venir en aide au Liban qui a déjà accueilli près de 2,5 millions de réfugiés syriens, dans une lettre adressée à la vice-présidente de la Commission européenne, Margrethe Vestager.
M. Ioánnou a estimé que le sort de Chypre est lié à celui du Liban, surtout avec "l’accroissement récent du nombre de déplacés au Liban". Et d’ajouter: "Le Liban est un barrage. S’il s’effondre, toute l’Europe sera confrontée à un problème."
Les autorités de Chypre, membre de l’Union européenne (UE), ont annoncé avoir demandé à l'instance régionale de réexaminer le statut de la Syrie comme "État non sécurisé", statut qui empêche le retour des réfugiés syriens dans leur pays.
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