©(Photo de Bryan R. Smith/AFP)
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé à l'ONU que son pays et l'Arabie Saoudite étaient "proches" d'une paix "historique". Il a également estimé que les Palestiniens n'avaient pas de droit de "veto"sur les relations israélo-arabes.
Israël et l'Arabie saoudite sont "proches" d'une paix "historique", s'est félicité vendredi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à la tribune de l'ONU, jugeant que les Palestiniens n'avaient pas de droit de "veto" sur les relations israélo-arabes.
Rappelant la normalisation en 2020 des relations avec trois pays arabes qu'il a qualifiée d'"aube d'une nouvelle ère", il a estimé que "nous sommes proches d'une avancée encore plus spectaculaire, une paix historique entre Israël et l'Arabie saoudite".
Le prince saoudien héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, surnommé MBS, avait, lui aussi, récemment assuré, dans une interview à la télévision américaine Fow News, que la monarchie sunnite et l'État hébreu se "rapprochaient tous les jours" d'une normalisation de leurs relations.
"Une telle paix ferait beaucoup pour mettre un terme au conflit israélo-arabe, elle encouragerait d'autres pays arabes à normaliser leurs relations avec Israël, elle augmenterait les possibilités d'une paix avec les Palestiniens", a estimé vendredi Benjamin Netanyahu.
Mais "je crois que nous ne devons pas donner aux Palestiniens un veto sur de nouveaux traités de paix avec les États arabes", a-t-il insisté. "Les Palestiniens pourraient largement bénéficier d'une paix plus large. Ils doivent participer à ce processus".
Le président palestinien Mahmoud Abbas avait prévenu jeudi à la même tribune qu'il n'y aurait pas de paix au Proche et au Moyen-Orient sans la prise en compte des "droits légitimes" de son peuple, c'est-à-dire la mise en œuvre d'une solution à deux États.
Le Premier ministre israélien s'en est d'autre part pris sa bête noire, le régime iranien.
"Par-dessus tout, l'Iran doit être confronté à une menace nucléaire. Aussi longtemps que je serai Premier ministre d'Israël, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l'Iran de se doter d'armements nucléaires", a-t-il affirmé.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Israël et l'Arabie saoudite sont "proches" d'une paix "historique", s'est félicité vendredi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à la tribune de l'ONU, jugeant que les Palestiniens n'avaient pas de droit de "veto" sur les relations israélo-arabes.
Rappelant la normalisation en 2020 des relations avec trois pays arabes qu'il a qualifiée d'"aube d'une nouvelle ère", il a estimé que "nous sommes proches d'une avancée encore plus spectaculaire, une paix historique entre Israël et l'Arabie saoudite".
Le prince saoudien héritier d'Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, surnommé MBS, avait, lui aussi, récemment assuré, dans une interview à la télévision américaine Fow News, que la monarchie sunnite et l'État hébreu se "rapprochaient tous les jours" d'une normalisation de leurs relations.
"Une telle paix ferait beaucoup pour mettre un terme au conflit israélo-arabe, elle encouragerait d'autres pays arabes à normaliser leurs relations avec Israël, elle augmenterait les possibilités d'une paix avec les Palestiniens", a estimé vendredi Benjamin Netanyahu.
Mais "je crois que nous ne devons pas donner aux Palestiniens un veto sur de nouveaux traités de paix avec les États arabes", a-t-il insisté. "Les Palestiniens pourraient largement bénéficier d'une paix plus large. Ils doivent participer à ce processus".
Le président palestinien Mahmoud Abbas avait prévenu jeudi à la même tribune qu'il n'y aurait pas de paix au Proche et au Moyen-Orient sans la prise en compte des "droits légitimes" de son peuple, c'est-à-dire la mise en œuvre d'une solution à deux États.
Le Premier ministre israélien s'en est d'autre part pris sa bête noire, le régime iranien.
"Par-dessus tout, l'Iran doit être confronté à une menace nucléaire. Aussi longtemps que je serai Premier ministre d'Israël, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l'Iran de se doter d'armements nucléaires", a-t-il affirmé.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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