©(Photo de HANNAH MCKAY/POOL/AFP)
Au terme de ses trois jours de visite en France, le roi Charles III a planté un chêne dans l'hôtel de ville de Bordeaux. Un acte symbolique pour le souverain qui a appelé à répondre plus efficacement" à "l'urgence mondiale en matière de climat et de biodiversité".
Un chêne planté dans l'hôtel de ville de Bordeaux : le roi Charles III a clos vendredi, sur une note verte, sa visite d'État en France au cours de laquelle il a plaidé pour une nouvelle "Entente" franco-britannique pour lutter contre le réchauffement climatique.
L'acte est symbolique au lendemain d'un discours devant le Sénat français où le roi Charles avait également appelé à répondre "plus efficacement" à "l'urgence mondiale en matière de climat et de biodiversité".
Vendredi à Bordeaux, Charles III a pris la pelle tendue par le maire écologiste de la ville, Pierre Hurmic pour planter un chêne nèfle (ou à feuilles craquelées), "choisi pour sa capacité d'adaptation au changement climatique", selon Buckingham.
(Photo de HANNAH MCKAY/POOL/AFP)
"Ce chêne nous donne des obligations : moi, d'en prendre soin, et lui d'en prendre des nouvelles", a déclaré l'édile du sud-ouest, saluant cette alliance impromptue d'un "roi forestier" et d'un "maire jardinier".
"Je lui ai dit que nous essayions de limiter la place de la voiture en ville, que l'on plante même des arbres à la place des parkings, et il a pointé les deux pouces vers le haut en signe d'approbation", a ajouté le maire qui a offert à la reine une lampe confectionnée par un designer local et au roi une bouteille de château Palmer 2018.
Le plaidoyer pour le climat de Charles III tranche avec le revirement très critiqué de Downing Street mercredi sur ses engagements environnementaux, mais il n'est pas nouveau. À la COP de Glasgow fin 2021, le futur roi avait déjà exhorté les chefs d'État à redoubler d'efforts contre le réchauffement climatique.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
Un chêne planté dans l'hôtel de ville de Bordeaux : le roi Charles III a clos vendredi, sur une note verte, sa visite d'État en France au cours de laquelle il a plaidé pour une nouvelle "Entente" franco-britannique pour lutter contre le réchauffement climatique.
L'acte est symbolique au lendemain d'un discours devant le Sénat français où le roi Charles avait également appelé à répondre "plus efficacement" à "l'urgence mondiale en matière de climat et de biodiversité".
Vendredi à Bordeaux, Charles III a pris la pelle tendue par le maire écologiste de la ville, Pierre Hurmic pour planter un chêne nèfle (ou à feuilles craquelées), "choisi pour sa capacité d'adaptation au changement climatique", selon Buckingham.
(Photo de HANNAH MCKAY/POOL/AFP)
"Ce chêne nous donne des obligations : moi, d'en prendre soin, et lui d'en prendre des nouvelles", a déclaré l'édile du sud-ouest, saluant cette alliance impromptue d'un "roi forestier" et d'un "maire jardinier".
"Je lui ai dit que nous essayions de limiter la place de la voiture en ville, que l'on plante même des arbres à la place des parkings, et il a pointé les deux pouces vers le haut en signe d'approbation", a ajouté le maire qui a offert à la reine une lampe confectionnée par un designer local et au roi une bouteille de château Palmer 2018.
Le plaidoyer pour le climat de Charles III tranche avec le revirement très critiqué de Downing Street mercredi sur ses engagements environnementaux, mais il n'est pas nouveau. À la COP de Glasgow fin 2021, le futur roi avait déjà exhorté les chefs d'État à redoubler d'efforts contre le réchauffement climatique.
Marie de La Roche Saint-André, avec AFP
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