Le député Georges Okaiss, membre du bloc parlementaire de la République forte (Forces libanaises), a déclaré dimanche que "l'exode syrien au Liban est devenu une occupation".
Dans une interview accordée à la radio « Voix de tout le Liban », M. Okaiss a indiqué que « c'est la première fois que des organisations et des entités internationales parrainent l'occupation d'un État par un autre". Et d’ajouter qu’il n'y a pas de "décision politique claire au Liban pour faire face à ce flux migratoire et prendre des mesures fermes".
Concernant le dossier de la présidentielle, il s’est dit ouvert à deux options: "Soit nous nous entendons sur un candidat que nous élirons et soutiendrons tout au long de son mandat, soit nous nous dirigeons vers une élection au Parlement, et pour l’instant, il y a deux candidats" (les anciens ministres Jihad Azour et Sleiman Frangié).
Interrogé sur la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, M. Okaiss a assuré que "les Forces libanaises ne s’y opposent pas s’il est consensuel et si la Constitution peut être modifiée".
Il a également affirmé que « nous sommes en présence de deux projets opposés" au Liban, en allusion au projet souverainiste et celui du 8 Mars, ajoutant : "Nous avons fait des concessions à Doha et lors de l’accord de Meerab, mais nous n’en ferons plus".
Il a en outre appelé "le peuple libanais à résister et à soutenir le camp souverainiste qui aspire à la consolidation des institutions et à la construction de l'État".
Dans une interview accordée à la radio « Voix de tout le Liban », M. Okaiss a indiqué que « c'est la première fois que des organisations et des entités internationales parrainent l'occupation d'un État par un autre". Et d’ajouter qu’il n'y a pas de "décision politique claire au Liban pour faire face à ce flux migratoire et prendre des mesures fermes".
Concernant le dossier de la présidentielle, il s’est dit ouvert à deux options: "Soit nous nous entendons sur un candidat que nous élirons et soutiendrons tout au long de son mandat, soit nous nous dirigeons vers une élection au Parlement, et pour l’instant, il y a deux candidats" (les anciens ministres Jihad Azour et Sleiman Frangié).
Interrogé sur la candidature du commandant en chef de l’armée, le général Joseph Aoun, M. Okaiss a assuré que "les Forces libanaises ne s’y opposent pas s’il est consensuel et si la Constitution peut être modifiée".
Il a également affirmé que « nous sommes en présence de deux projets opposés" au Liban, en allusion au projet souverainiste et celui du 8 Mars, ajoutant : "Nous avons fait des concessions à Doha et lors de l’accord de Meerab, mais nous n’en ferons plus".
Il a en outre appelé "le peuple libanais à résister et à soutenir le camp souverainiste qui aspire à la consolidation des institutions et à la construction de l'État".
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