La force palestinienne conjointe a lancé, lundi dans l’après-midi, la première phase de son déploiement dans le camp palestinien de Aïn el-Héloué, où de violents affrontements s’étaient déroulés en août, entre le Fateh, du président palestinien Mahmoud Abbas, et des groupuscules palestiniens islamistes proches de l’Iran.
Le déploiement de la force conjointe, prévu dans le cadre d’un énième accord pour un cessez-le-feu, conclu en présence d’émissaires du Hamas et du Fateh, devrait permettre de consolider ce cessez-le-feu et d’éviter une reprise des combats, alors que les deux parties adverses maintiennent une présence active dans le camp.
La première phase est prévue au niveau de l’axe Safsaf-Ras el-Ahmar, Tayri et Barrak où les accrochages les plus violents avaient eu lieu. Les agents palestiniens de l'ordre se sont positionnés sur deux points: Hay el-Tiré et Barrak.
Selon les explications du commandant de la force conjointe, Mohammad al-Ajouri, cité par l’agence Al-Markaziya, la force conjointe est composée du Fateh, de Hamas, d’Esbat al-Ansar et du Mouvement islamique moujahed. «Nous avons des garanties qu’il n’y aura pas de problèmes durant le déploiement», a-t-il insisté, en expliquant que les éléments armés vont devoir tous se retirer, «ce qui est de nature à rassurer les habitants et à encourager ceux qui avaient fui le camp à y retourner».
Pour la première phase, 70 agents et officiers ont été mobilisés. Ce chiffre devrait passer à 170, au fur et à mesure que le processus avencera.
La seconde étape doit porter, toujours selon les explications de Mohammad al-Ajouri, sur «une évacuation des écoles, aujourd’hui occupées par des éléments armés (Jund el-Cham et Chabeb el-Islam ou les jeunes de l’Islam), pour qu’elles soient de nouveau prises en charge par l’Unrwa».
Reste la question de l’assassinat d’Abou Achraf el-Armouchi, qui avait été le détonateur des affrontements sanglants. Les accords de cessez-le-feu prévoyaient que les assassins présumés de ce cadre du Fateh soient livrés aux autorités libanaises, ce qui ne s’est pas produit. Selon Mahmoud al-Ajouri, ce dossier est «toujours en voie de règlement.»
Abou Achraf el-Armouchi, responsable de la sécurité à Aïn el-Héloué, et quatre de ses compagnons, avaient été tués fin juillet, dans une embuscade.
Le déploiement de la force conjointe, prévu dans le cadre d’un énième accord pour un cessez-le-feu, conclu en présence d’émissaires du Hamas et du Fateh, devrait permettre de consolider ce cessez-le-feu et d’éviter une reprise des combats, alors que les deux parties adverses maintiennent une présence active dans le camp.
La première phase est prévue au niveau de l’axe Safsaf-Ras el-Ahmar, Tayri et Barrak où les accrochages les plus violents avaient eu lieu. Les agents palestiniens de l'ordre se sont positionnés sur deux points: Hay el-Tiré et Barrak.
Selon les explications du commandant de la force conjointe, Mohammad al-Ajouri, cité par l’agence Al-Markaziya, la force conjointe est composée du Fateh, de Hamas, d’Esbat al-Ansar et du Mouvement islamique moujahed. «Nous avons des garanties qu’il n’y aura pas de problèmes durant le déploiement», a-t-il insisté, en expliquant que les éléments armés vont devoir tous se retirer, «ce qui est de nature à rassurer les habitants et à encourager ceux qui avaient fui le camp à y retourner».
Pour la première phase, 70 agents et officiers ont été mobilisés. Ce chiffre devrait passer à 170, au fur et à mesure que le processus avencera.
La seconde étape doit porter, toujours selon les explications de Mohammad al-Ajouri, sur «une évacuation des écoles, aujourd’hui occupées par des éléments armés (Jund el-Cham et Chabeb el-Islam ou les jeunes de l’Islam), pour qu’elles soient de nouveau prises en charge par l’Unrwa».
Reste la question de l’assassinat d’Abou Achraf el-Armouchi, qui avait été le détonateur des affrontements sanglants. Les accords de cessez-le-feu prévoyaient que les assassins présumés de ce cadre du Fateh soient livrés aux autorités libanaises, ce qui ne s’est pas produit. Selon Mahmoud al-Ajouri, ce dossier est «toujours en voie de règlement.»
Abou Achraf el-Armouchi, responsable de la sécurité à Aïn el-Héloué, et quatre de ses compagnons, avaient été tués fin juillet, dans une embuscade.
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