Les Éthiopiens orthodoxes ont commencé mercredi à célébrer "Meskel" ("la Croix" en langue amharique), l'une des plus importantes fêtes de ce pays profondément religieux mais déchiré par des violences politiques et identitaires.
"Le christianisme a le pouvoir de rendre notre unité originelle, il nous aide à oublier ces différences qui nous ont modelées depuis si longtemps et nous ont amené ces conflits, ces guerres, ces haines et ces atrocités", assure à Addis-Abeba un prêtre orthodoxe.
Meskel commémore, chez les fidèles des Églises autocéphales éthiopiennes et érythréennes, la découverte au IVe siècle, selon la tradition chrétienne, "de la Vraie Croix" de par Sainte Hélène, mère de l'empereur romain Constantin 1er. Un fragment est supposé conservé dans le nord de l'Éthiopie.
Avec AFP
"Le christianisme a le pouvoir de rendre notre unité originelle, il nous aide à oublier ces différences qui nous ont modelées depuis si longtemps et nous ont amené ces conflits, ces guerres, ces haines et ces atrocités", assure à Addis-Abeba un prêtre orthodoxe.
Meskel commémore, chez les fidèles des Églises autocéphales éthiopiennes et érythréennes, la découverte au IVe siècle, selon la tradition chrétienne, "de la Vraie Croix" de par Sainte Hélène, mère de l'empereur romain Constantin 1er. Un fragment est supposé conservé dans le nord de l'Éthiopie.
Avec AFP
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