La force palestinienne conjointe a achevé vendredi son déploiement dans le camp d'Aïn el-Heloué, où de violents affrontements ont opposé le Fateh, du président palestinien Mahmoud Abbas, à des groupuscules palestiniens islamistes proches de l’Iran. Près de 50 membres de cette force se sont déployés vendredi après-midi devant des écoles de l'Unrwa, l'agence de l'ONU en charge des réfugiés palestiniens.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un plan composé de quatre étapes visant à rétablir la paix dans le camp. Les écoles, jusque-là occupées par des éléments armés (Jund el-Cham, Osbet el-Ansar et Chabeb el-Islam), ont été évacuées afin d'être prises en charge par l’Unrwa.
Selon l’agence de presse al-Markaziya, «une atmosphère positive» régnait dans le camp, en présence notamment de membres de la direction politique palestinienne unifiée, du commandant de la sécurité nationale palestinienne, Sobhi Abou Arab, et du commandant de la force conjointe, le général Mahmoud Ajouri.
Le représentant du Hamas, Ahmed Abdelhadi, a estimé qu’il s’agit «d'un pas très important, et dans la bonne direction». Il a, dans ce cadre, appelé «l'Unrwa à reprendre en charge les écoles, en y lançant immédiatement des opérations de réhabilitation et en les préparant à accueillir les élèves».
Par ailleurs, l'accalmie totale à Aïn el-Heloué, reste tributaire de la remise des personnes accusées de l’assassinat du général Abou Ashraf al-Armouchi et de ses compagnons.
Abou Achraf el-Armouchi, responsable de la sécurité à Aïn el-Héloué, et quatre de ses compagnons, avaient été tués, fin juillet, dans une embuscade. Depuis lors, des affrontements ont éclaté entre le Fateh et les organisations islamistes du camp.
Par ailleurs, des coups de feu ont été tirés vendredi matin au marché aux légumes à l'intérieur du camp, blessant deux personnes. L'auteur des tirs a été remis aux renseignements de l'armée au poste de contrôle de Darb El-Sim.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’un plan composé de quatre étapes visant à rétablir la paix dans le camp. Les écoles, jusque-là occupées par des éléments armés (Jund el-Cham, Osbet el-Ansar et Chabeb el-Islam), ont été évacuées afin d'être prises en charge par l’Unrwa.
Selon l’agence de presse al-Markaziya, «une atmosphère positive» régnait dans le camp, en présence notamment de membres de la direction politique palestinienne unifiée, du commandant de la sécurité nationale palestinienne, Sobhi Abou Arab, et du commandant de la force conjointe, le général Mahmoud Ajouri.
Le représentant du Hamas, Ahmed Abdelhadi, a estimé qu’il s’agit «d'un pas très important, et dans la bonne direction». Il a, dans ce cadre, appelé «l'Unrwa à reprendre en charge les écoles, en y lançant immédiatement des opérations de réhabilitation et en les préparant à accueillir les élèves».
Par ailleurs, l'accalmie totale à Aïn el-Heloué, reste tributaire de la remise des personnes accusées de l’assassinat du général Abou Ashraf al-Armouchi et de ses compagnons.
Abou Achraf el-Armouchi, responsable de la sécurité à Aïn el-Héloué, et quatre de ses compagnons, avaient été tués, fin juillet, dans une embuscade. Depuis lors, des affrontements ont éclaté entre le Fateh et les organisations islamistes du camp.
Par ailleurs, des coups de feu ont été tirés vendredi matin au marché aux légumes à l'intérieur du camp, blessant deux personnes. L'auteur des tirs a été remis aux renseignements de l'armée au poste de contrôle de Darb El-Sim.
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