La Rencontre de Saydet el-Jabal a estimé qu’il n’y aurait «pas de solution à la crise des déplacés syriens tant que le régime de Bachar el-Assad, qui les a refoulés et les incite toujours à quitter leur pays et abandonner leurs biens, est en place».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, il a ajouté: «Se débarrasser du régime syrien, soutenu par le Hezbollah, est le seul moyen de mettre fin à cette étouffante crise.»
Saydet el-Jabal a relevé que «le Hezbollah continue de négocier, au nom du Liban, pour achever la démarcation des frontières terrestres avec Israël», ajoutant: «Les jours et semaines à venir révéleront que les États-Unis ont réagi très modérément à l’attaque qui a visé leur ambassade (le 25 septembre dernier) à Aoukar, pour ne pas bloquer les négociations en cours.»
Elle a par ailleurs estimé que du fait de de la vacance présidentielle qui se prolonge et de l'effondrement économique, les partis politiques intensifient l’incitation communautaire, ce qui met en danger les fondements de l’État. La Rencontre a ainsi fait assumer « à certaines forces politiques la responsabilité de mettre en danger l’avenir du Liban», soulignant que c’est notamment le cas du Hezbollah «qui veut imposer son hégémonie sur le pays par la force des armes, même si cela entraîne la désintégration de l’État et de l’entité du Liban».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, il a ajouté: «Se débarrasser du régime syrien, soutenu par le Hezbollah, est le seul moyen de mettre fin à cette étouffante crise.»
Saydet el-Jabal a relevé que «le Hezbollah continue de négocier, au nom du Liban, pour achever la démarcation des frontières terrestres avec Israël», ajoutant: «Les jours et semaines à venir révéleront que les États-Unis ont réagi très modérément à l’attaque qui a visé leur ambassade (le 25 septembre dernier) à Aoukar, pour ne pas bloquer les négociations en cours.»
Elle a par ailleurs estimé que du fait de de la vacance présidentielle qui se prolonge et de l'effondrement économique, les partis politiques intensifient l’incitation communautaire, ce qui met en danger les fondements de l’État. La Rencontre a ainsi fait assumer « à certaines forces politiques la responsabilité de mettre en danger l’avenir du Liban», soulignant que c’est notamment le cas du Hezbollah «qui veut imposer son hégémonie sur le pays par la force des armes, même si cela entraîne la désintégration de l’État et de l’entité du Liban».
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