Au 258ᵉ jour de son sit-in au Parlement, le député Melhem Khalaf a appelé à la tenue d’un débat dans l’hémicycle, qui serait immédiatement suivi d’un scrutin électoral ouvert jusqu’à l’élection d’un président de la République.
Dans une conférence de presse au Parlement, il a dénoncé «l’effondrement de l’État et la désintégration des institutions les unes après les autres», en raison de l’absence d’un chef de l’État.
«La régulation de la vie publique ne peut se faire qu’en élisant un président de la République, et telle est la responsabilité personnelle et directe des 128 députés, a-t-il ajouté. C’est pourquoi je propose la tenue d’une séance consacrée à un débat axé sur les raisons qui empêchent la mise en œuvre des articles 74, 75 et 49 de la Constitution, qui sera immédiatement suivi d’un scrutin ouvert jusqu’à l'élection d’un président pour sauver le pays.»
Dans une conférence de presse au Parlement, il a dénoncé «l’effondrement de l’État et la désintégration des institutions les unes après les autres», en raison de l’absence d’un chef de l’État.
«La régulation de la vie publique ne peut se faire qu’en élisant un président de la République, et telle est la responsabilité personnelle et directe des 128 députés, a-t-il ajouté. C’est pourquoi je propose la tenue d’une séance consacrée à un débat axé sur les raisons qui empêchent la mise en œuvre des articles 74, 75 et 49 de la Constitution, qui sera immédiatement suivi d’un scrutin ouvert jusqu’à l'élection d’un président pour sauver le pays.»
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