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- Les députés d’Amal se déchainent contre Michel Aoun et Bassil
Certains députés du tandem chiite, plus particulièrement ceux gravitant dans le giron du mouvement Amal et de son chef Nabih Berry, ne cachent pas leurs critiques acerbes, dans leurs cercles privés, contre l’ancien président Michel Aoun et le chef du Courant patriotique libre, Gebrane Bassil. Les parlementaires en question accusent ces derniers d’avoir entrainé le pays dans l’enfer du fait de leur gestion médiocre des affaires publiques au cours du mandat Aoun.
Les députés précités ne manquent pas d’exprimer ouvertement leur colère au sujet des propos insultants tenus par M. Bassil à l’égard du chef du législatif. Ils soulignent notamment qu’aucun responsable politique n’a jamais tenu de tels propos dirigés contre M. Berry. Ces parlementaires relèvent sur ce plan que les Forces libanaises et leur leader Samir Geagea ont toujours montré le plus grand respect et ont constamment fait preuve d’éthique dans leurs critiques de la ligne de conduite de M. Berry.
Dans le camp opposé, les visiteurs de Rabieh rapportent que le président Aoun s’en prend sans détour à M. Berry et lui fait assumer la responsabilité de l’échec de son mandat en raison de son influence prépondérante au sein de l’appareil de l’Etat. « Si j’avais été informé de ce fait, je n’aurais pas accepté la présidence », a lancé Michel Aoun devant ses visiteurs.
Les députés précités ne manquent pas d’exprimer ouvertement leur colère au sujet des propos insultants tenus par M. Bassil à l’égard du chef du législatif. Ils soulignent notamment qu’aucun responsable politique n’a jamais tenu de tels propos dirigés contre M. Berry. Ces parlementaires relèvent sur ce plan que les Forces libanaises et leur leader Samir Geagea ont toujours montré le plus grand respect et ont constamment fait preuve d’éthique dans leurs critiques de la ligne de conduite de M. Berry.
Dans le camp opposé, les visiteurs de Rabieh rapportent que le président Aoun s’en prend sans détour à M. Berry et lui fait assumer la responsabilité de l’échec de son mandat en raison de son influence prépondérante au sein de l’appareil de l’Etat. « Si j’avais été informé de ce fait, je n’aurais pas accepté la présidence », a lancé Michel Aoun devant ses visiteurs.
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