©Illustration: Nora Moubarak
Il existe des endroits d’où jaillit la poésie.
Des instants de contemplation éphémère.
Il se tient devant Elle,
elle s’offre à lui quand il ne s’y attend pas,
son teint rosit doucement,
l’émotion le gagne.
Ses yeux se colorent de reflets orangés,
puis s’embrasent et les flammes dansent dans ses pupilles.
Il se sent fiévreux.
Ses pommettes se colorent de rouge ardent,
elle le transcende totalement.
Il existe des endroits d’où jaillit la poésie.
Des lieux qui coupent le souffle,
des lieux qui ôtent les mots.
Des lieux où la nature dans sa plus époustouflante pureté,
se donne à l’homme chanceux qui jouit d’elle,
mais ne sait plus tellement réaliser,
le cadeau inestimable qu’elle lui fait.
Il l’aime mais ne sait plus l’aimer, ni la choyer, encore moins la protéger.
La passion brûlante qui hier le dévorait s’est calmée quand la nuit est tombée.
Et le jour s’est levé.
Elle était toujours pareille beauté.
Le soir est venu et le ciel a de nouveau rougeoyé.
Mais l’homme était déjà trop habitué…
comment savoir qu’à l’intérieur Elle se consumait?
Pourtant, cela ne fait-il pas des années qu’il a sous les yeux tous les indices pour le deviner…
En souvenir de couchers de soleil ardents sur les terres libanaises.
Des instants de contemplation éphémère.
Il se tient devant Elle,
elle s’offre à lui quand il ne s’y attend pas,
son teint rosit doucement,
l’émotion le gagne.
Ses yeux se colorent de reflets orangés,
puis s’embrasent et les flammes dansent dans ses pupilles.
Il se sent fiévreux.
Ses pommettes se colorent de rouge ardent,
elle le transcende totalement.
Il existe des endroits d’où jaillit la poésie.
Des lieux qui coupent le souffle,
des lieux qui ôtent les mots.
Des lieux où la nature dans sa plus époustouflante pureté,
se donne à l’homme chanceux qui jouit d’elle,
mais ne sait plus tellement réaliser,
le cadeau inestimable qu’elle lui fait.
Il l’aime mais ne sait plus l’aimer, ni la choyer, encore moins la protéger.
La passion brûlante qui hier le dévorait s’est calmée quand la nuit est tombée.
Et le jour s’est levé.
Elle était toujours pareille beauté.
Le soir est venu et le ciel a de nouveau rougeoyé.
Mais l’homme était déjà trop habitué…
comment savoir qu’à l’intérieur Elle se consumait?
Pourtant, cela ne fait-il pas des années qu’il a sous les yeux tous les indices pour le deviner…
En souvenir de couchers de soleil ardents sur les terres libanaises.
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