Le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui, a adressé jeudi une note à la direction générale des Forces de la sécurité intérieure (FSI), demandant de «lancer une campagne visant à réprimer et à arrêter les motos conduites par des individus syriens qui ne détiennent pas de permis de résidence libanaise».
Cette décision intervient dans un contexte où «la circulation des motocyclettes augmente, notamment celles conduites par des Syriens, dont certains ont exploité cette tendance à des fins criminelles telles que le vol, l'usage d’armes à feu et le trafic de drogue».
A la suite d’une réunion tenue mercredi avec les mohafez des régions et certains présidents de municipalités, M. Maoulaoui a émis jeudi deux notes à l’adresse des mohafez (gouverneurs).
Dans la première, il les exhorte à «diffuser, auprès des municipalités et des maires (mokhtars), une stricte interdiction d’accepter tout type de dons (conditionnés ou non), de quelque source que ce soit, concernant les réfugiés syriens». Cette interdiction vise à prévenir «toute influence indue sur le séjour des réfugiés au Liban en empêchant leur retour dans leur pays en toute sécurité».
Dans la seconde note, le ministre de l’Intérieur appelle les mohafez à «veiller à ce que les municipalités et les maires soumettent des rapports réguliers tous les 15 jours». Ces rapports devraient fournir des «mises à jour complètes concernant la mise en œuvre des mesures énoncées dans la circulaire n° 74 relative à l'exécution des décisions du Cabinet liées à la crise de la migration syrienne».
Par ailleurs, M. Maoulaoui a demandé au mohafez de Beyrouth, le juge Marwan Abboud, de «donner instruction aux agents de la police municipale d'intensifier les patrouilles en coordination avec la direction générale de la police de Beyrouth au sein des FSI, et ce, afin de lutter contre le phénomène de mendicité des enfants non libanais dans les rues de la capitale, en particulier aux feux de circulation».
Cette décision intervient dans un contexte où «la circulation des motocyclettes augmente, notamment celles conduites par des Syriens, dont certains ont exploité cette tendance à des fins criminelles telles que le vol, l'usage d’armes à feu et le trafic de drogue».
A la suite d’une réunion tenue mercredi avec les mohafez des régions et certains présidents de municipalités, M. Maoulaoui a émis jeudi deux notes à l’adresse des mohafez (gouverneurs).
Dans la première, il les exhorte à «diffuser, auprès des municipalités et des maires (mokhtars), une stricte interdiction d’accepter tout type de dons (conditionnés ou non), de quelque source que ce soit, concernant les réfugiés syriens». Cette interdiction vise à prévenir «toute influence indue sur le séjour des réfugiés au Liban en empêchant leur retour dans leur pays en toute sécurité».
Dans la seconde note, le ministre de l’Intérieur appelle les mohafez à «veiller à ce que les municipalités et les maires soumettent des rapports réguliers tous les 15 jours». Ces rapports devraient fournir des «mises à jour complètes concernant la mise en œuvre des mesures énoncées dans la circulaire n° 74 relative à l'exécution des décisions du Cabinet liées à la crise de la migration syrienne».
Par ailleurs, M. Maoulaoui a demandé au mohafez de Beyrouth, le juge Marwan Abboud, de «donner instruction aux agents de la police municipale d'intensifier les patrouilles en coordination avec la direction générale de la police de Beyrouth au sein des FSI, et ce, afin de lutter contre le phénomène de mendicité des enfants non libanais dans les rues de la capitale, en particulier aux feux de circulation».
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