Le ministre sortant de l'Énergie, Walid Fayad, a assuré que malgré les récents échanges de tirs d'artillerie à la frontière entre le Liban et Israël, la prospection gazière dans le bloc 9 en Méditerranée se poursuit comme prévu et n'a pas été interrompue.
Dans une interview à l’agence de presse Reuters, M. Fayad a assuré qu’«il est dans l’intérêt de tous de poursuivre le forage tant qu’il existe des signes de stabilité». Il a cependant indiqué qu'il n'a pas encore discuté avec le consortium TotalEnergies, Eni et QatarEnergy concernant les plans d'urgence qui pourraient être mis en œuvre en cas de conflit plus vaste, pouvant nécessiter l'évacuation des travailleurs à bord de la plateforme.
Il convient de rappeler à cet égard que le consortium, composé des trois compagnies française, italienne et qatarie, qui mène des opérations de forage au large de Naqoura, au Liban-Sud, livrera théoriquement ses premières données à la fin du mois d’octobre. Ces opérations ont été lancées le 23 août dernier, une semaine après l’arrivée au large du Liban, le 16 août, de la plateforme d’exploration Transocean Barents. Celle-ci permettra de confirmer la présence de gaz et de déterminer si les quantités sont suffisantes pour être commercialisées.
Par ailleurs, le consortium a présenté une offre, début octobre, pour l’exploration des blocs pétroliers et gaziers 8 et 10 qui se situent au sud du Liban, dans la zone économique exclusive libanaise.
Dans une interview à l’agence de presse Reuters, M. Fayad a assuré qu’«il est dans l’intérêt de tous de poursuivre le forage tant qu’il existe des signes de stabilité». Il a cependant indiqué qu'il n'a pas encore discuté avec le consortium TotalEnergies, Eni et QatarEnergy concernant les plans d'urgence qui pourraient être mis en œuvre en cas de conflit plus vaste, pouvant nécessiter l'évacuation des travailleurs à bord de la plateforme.
Il convient de rappeler à cet égard que le consortium, composé des trois compagnies française, italienne et qatarie, qui mène des opérations de forage au large de Naqoura, au Liban-Sud, livrera théoriquement ses premières données à la fin du mois d’octobre. Ces opérations ont été lancées le 23 août dernier, une semaine après l’arrivée au large du Liban, le 16 août, de la plateforme d’exploration Transocean Barents. Celle-ci permettra de confirmer la présence de gaz et de déterminer si les quantités sont suffisantes pour être commercialisées.
Par ailleurs, le consortium a présenté une offre, début octobre, pour l’exploration des blocs pétroliers et gaziers 8 et 10 qui se situent au sud du Liban, dans la zone économique exclusive libanaise.
Lire aussi
Commentaires