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- Ligue maronite: Les déplacés syriens, danger existentiel pour les habitants de Rmeich
La Ligue maronite a appelé le gouvernement libanais à «charger les forces de sécurité de contrôler la situation dans la ville de Rmeich (Liban-Sud) et ses environs, en raison des développements qui pourraient survenir, compte tenu des tentatives répétées d’infiltration des déplacés syriens». Elle a également mis en garde contre les «conséquences négatives qui pourraient résulter à tous les niveaux – notamment sécuritaire –, d’autant plus que la ville abrite déjà un nombre important de Syriens qui ne cesse de croître».
Dans un communiqué publié mercredi soir, la Ligue maronite a dénoncé le fait qu’«au moment où la capacité des habitants de la ville à résister à la crise économique et sociale décline dans ces circonstances difficiles, des organisations internationales apportent de l’aide aux Syriens dès le début de la guerre en Palestine occupée». Et d’ajouter: «Quant à l’État libanais, ses ministères et ses institutions sont absents et indifférents à ce qui s’y passe et le peuple est livré à son sort.»
La Ligue maronite a par ailleurs affirmé qu’elle «ne permettra pas que les habitants de la plus grande ville maronite au Liban-Sud soient poussés à l'exil ou à la misère», insistant qu’ils «refusent toujours de quitter leurs terres».
Dans un communiqué publié mercredi soir, la Ligue maronite a dénoncé le fait qu’«au moment où la capacité des habitants de la ville à résister à la crise économique et sociale décline dans ces circonstances difficiles, des organisations internationales apportent de l’aide aux Syriens dès le début de la guerre en Palestine occupée». Et d’ajouter: «Quant à l’État libanais, ses ministères et ses institutions sont absents et indifférents à ce qui s’y passe et le peuple est livré à son sort.»
La Ligue maronite a par ailleurs affirmé qu’elle «ne permettra pas que les habitants de la plus grande ville maronite au Liban-Sud soient poussés à l'exil ou à la misère», insistant qu’ils «refusent toujours de quitter leurs terres».
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