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- Schenker n'écarte pas la possibilité d'extension de la guerre
L’ancien sous-secrétaire d’État américain pour le Proche-Orient, David Schenker, n’a pas écarté la possibilité que le conflit entre le Hamas et Israël s’étende à d’autres territoires, dont le Liban, «provoquant de grandes destructions comme celles perpétrées sur le territoire libanais lors de la guerre de 2006».
Dans une interview accordée à la chaîne locale MTV jeudi, il a condamné «les activités provocatrices du Hezbollah qui, depuis cinq jours, se multiplient à la frontière entre le Liban et Israël, constituant une menace envers de l’État hébreu».
Il s’est, par ailleurs, penché sur la visite du ministre américain des Affaires étrangères en Israël, Anthony Blinken, qui «symbolise l’appui des États-Unis à Tel Aviv, à la lumière des développements majeurs sur le territoire israélien».
Selon M. Schenker, cette visite visait également à «dissuader l'Iran et le Hezbollah d'intervenir dans ce conflit en envoyant les porte-avions, en particulier après la prise d'otages israéliens par le Hamas le 7 octobre, une attaque probablement soutenue par Téhéran».
Au sujet de l’offensive terrestre que s’apprête à mener Israël à Gaza et que «le Hezbollah observe de près», M. Schenker a déclaré qu’il s’agissait d’une «tentative de limiter les activités du Hamas». Il s’est toutefois montré sceptique quant à «la possibilité pour Tel Aviv de reconquérir Gaza».
«Des années durant, le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu a essayé de parvenir à une situation de stabilité en autorisant, au cours des dix derniers mois, l'acheminement d'aides financières et humanitaires en provenance de pays tels que le Qatar et l'Égypte, destinées aux Palestiniens», a souligné M. Schenker.
Il a toutefois regretté «le refus du Hamas d’adhérer à cette démarche», soulignant la détermination du groupe palestinien «à détruire Israël, ce qui confirme, entre autres, son refus des accords d'Oslo».
Dans une interview accordée à la chaîne locale MTV jeudi, il a condamné «les activités provocatrices du Hezbollah qui, depuis cinq jours, se multiplient à la frontière entre le Liban et Israël, constituant une menace envers de l’État hébreu».
Il s’est, par ailleurs, penché sur la visite du ministre américain des Affaires étrangères en Israël, Anthony Blinken, qui «symbolise l’appui des États-Unis à Tel Aviv, à la lumière des développements majeurs sur le territoire israélien».
Selon M. Schenker, cette visite visait également à «dissuader l'Iran et le Hezbollah d'intervenir dans ce conflit en envoyant les porte-avions, en particulier après la prise d'otages israéliens par le Hamas le 7 octobre, une attaque probablement soutenue par Téhéran».
Au sujet de l’offensive terrestre que s’apprête à mener Israël à Gaza et que «le Hezbollah observe de près», M. Schenker a déclaré qu’il s’agissait d’une «tentative de limiter les activités du Hamas». Il s’est toutefois montré sceptique quant à «la possibilité pour Tel Aviv de reconquérir Gaza».
«Des années durant, le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu a essayé de parvenir à une situation de stabilité en autorisant, au cours des dix derniers mois, l'acheminement d'aides financières et humanitaires en provenance de pays tels que le Qatar et l'Égypte, destinées aux Palestiniens», a souligné M. Schenker.
Il a toutefois regretté «le refus du Hamas d’adhérer à cette démarche», soulignant la détermination du groupe palestinien «à détruire Israël, ce qui confirme, entre autres, son refus des accords d'Oslo».
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