Le leasder des Forces libanaises, Samir Geagea, a vivement stigmatisé le trafic de stupéfiants, notamment de Captagon, à partir du Liban, indiquant que « deux cargaisons de Captagon ont été saisies mardi par les autorités égyptiennes sur deux vols en provenance de Beyrouth vers l'aéroport international du Caire". "Bien avant, a ajouté M. Geagea, des cargaisons de stupéfiants avaient été saisies aux Émirats, en Arabie saoudite et en Grèce, entre autres. Cela indique que le Liban s'est transformé effectivement en une grande usine de Captagon ».
M. Geagea souligne que « pour faire face à ce problème, il ne suffit pas d’effectuer quelques formalités au niveau de certains passages, mais il faut se rendre directement dans les usines fabriquant cette substance, arrêter immédiatement la fabrication, et traduire en Justice tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire, sans compter la nécessaie fermeture des passages frontaliers illégaux ».
Et de Samir Geagea de conclure : « L'Histoire ne pardonnera pas au peuple sa trahison, sa conspiration ou sa négligence. Les Libanais devront agir lors des élections législatives afin d’opérer le changement nécessaire pour faire sortir le Liban de l'enfer du Captagon de manière à le mener au paradis du cèdre et de l’encens et de le replonger au temps où l’État libanais jouissait d'une bonne réputation ».
M. Geagea souligne que « pour faire face à ce problème, il ne suffit pas d’effectuer quelques formalités au niveau de certains passages, mais il faut se rendre directement dans les usines fabriquant cette substance, arrêter immédiatement la fabrication, et traduire en Justice tous ceux qui sont impliqués dans cette affaire, sans compter la nécessaie fermeture des passages frontaliers illégaux ».
Et de Samir Geagea de conclure : « L'Histoire ne pardonnera pas au peuple sa trahison, sa conspiration ou sa négligence. Les Libanais devront agir lors des élections législatives afin d’opérer le changement nécessaire pour faire sortir le Liban de l'enfer du Captagon de manière à le mener au paradis du cèdre et de l’encens et de le replonger au temps où l’État libanais jouissait d'une bonne réputation ».
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