Après une série de rénovations ambitieuses, le musée Lumière s’apprête à rouvrir ses portes au public le 26 octobre, clôturant ainsi le festival éponyme. Situé dans l’emblématique demeure de Louis et Auguste Lumière à Lyon, le musée s’est donné pour mission de revitaliser l’héritage des pères fondateurs du cinéma.
Se détachant de la traditionnelle exposition d’artefacts, l’institut Lumière a décidé d’adopter une approche innovante pour célébrer le travail des deux frères. «Notre objectif est de transcender la simple présentation d’appareils derrière des vitrines et de porter un regard renouvelé sur les contributions significatives des frères Lumière», déclare un représentant de l’institut Lumière.
Fabrice Calzettoni, en charge de la médiation culturelle au musée, met l’accent sur la singularité des films des Lumière, en disant: «Nous aspirons à mettre en lumière la splendeur intrinsèque de leurs films. Réalisés dès 1895, ils ont, sans conteste, captivé les premiers spectateurs par leur éclat sans précédent.»
Les visiteurs pourront désormais plonger dans une expérience immersive grâce à une scénographie repensée au premier étage. L’espace, autrefois dominé par des photographies encadrées, se voit maintenant animé par des installations interactives. Ces dernières permettront au public de se familiariser avec les 1.400 films des Lumière, minutieusement restaurés par des experts à Bologne.
Le célèbre compositeur Jean-Michel Jarre enrichit l’exposition par une installation sonore et visuelle, où les images de 200 films des Lumière se fondent harmonieusement dans une symphonie électronique. De plus, une création de la sculptrice Emilie Tolot évoque le zootrope, jouet optique précurseur de l’animation cinématographique, introduisant les visiteurs aux premières étapes de l’évolution du cinéma.
Des œuvres phares comme L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat ou L’Arroseur arrosé illustrent parfaitement la vision novatrice des frères Lumière. Ils sont à l’origine du cinématographe, révolutionnaire appareil capable de filmer et de projeter, bien avant les tentatives de l’Américain Thomas Edison avec son kinétoscope.
En descendant au rez-de-chaussée, les visiteurs seront invités à explorer les prouesses techniques des Lumière. Le musée expose notamment leur cinématographe originel et met en avant les innovations photographiques qui les ont propulsés sur le devant de la scène. La «plaque bleue», par exemple, précurseur de la pellicule moderne, a démocratisé la photographie, la rendant accessible au grand public dès 1890.
En somme, cette réouverture marque non seulement un tournant pour le musée Lumière, mais aussi une célébration renouvelée des figures emblématiques qui ont façonné l’histoire du cinéma.
Avec AFP
Se détachant de la traditionnelle exposition d’artefacts, l’institut Lumière a décidé d’adopter une approche innovante pour célébrer le travail des deux frères. «Notre objectif est de transcender la simple présentation d’appareils derrière des vitrines et de porter un regard renouvelé sur les contributions significatives des frères Lumière», déclare un représentant de l’institut Lumière.
Fabrice Calzettoni, en charge de la médiation culturelle au musée, met l’accent sur la singularité des films des Lumière, en disant: «Nous aspirons à mettre en lumière la splendeur intrinsèque de leurs films. Réalisés dès 1895, ils ont, sans conteste, captivé les premiers spectateurs par leur éclat sans précédent.»
Les visiteurs pourront désormais plonger dans une expérience immersive grâce à une scénographie repensée au premier étage. L’espace, autrefois dominé par des photographies encadrées, se voit maintenant animé par des installations interactives. Ces dernières permettront au public de se familiariser avec les 1.400 films des Lumière, minutieusement restaurés par des experts à Bologne.
Le célèbre compositeur Jean-Michel Jarre enrichit l’exposition par une installation sonore et visuelle, où les images de 200 films des Lumière se fondent harmonieusement dans une symphonie électronique. De plus, une création de la sculptrice Emilie Tolot évoque le zootrope, jouet optique précurseur de l’animation cinématographique, introduisant les visiteurs aux premières étapes de l’évolution du cinéma.
Des œuvres phares comme L’Arrivée d’un train en gare de la Ciotat ou L’Arroseur arrosé illustrent parfaitement la vision novatrice des frères Lumière. Ils sont à l’origine du cinématographe, révolutionnaire appareil capable de filmer et de projeter, bien avant les tentatives de l’Américain Thomas Edison avec son kinétoscope.
En descendant au rez-de-chaussée, les visiteurs seront invités à explorer les prouesses techniques des Lumière. Le musée expose notamment leur cinématographe originel et met en avant les innovations photographiques qui les ont propulsés sur le devant de la scène. La «plaque bleue», par exemple, précurseur de la pellicule moderne, a démocratisé la photographie, la rendant accessible au grand public dès 1890.
En somme, cette réouverture marque non seulement un tournant pour le musée Lumière, mais aussi une célébration renouvelée des figures emblématiques qui ont façonné l’histoire du cinéma.
Avec AFP
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