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- Mikati: Toutes les parties désirent éviter une guerre au Liban
Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, a affirmé lundi soir que "toutes les parties sont conscientes de la nécessité de préserver le Liban de la guerre".
Lors d’une interview accordée à la chaîne télévisée locale LBCI, M. Mikati a indiqué que "les contacts diplomatiques se poursuivent". "Nous encourageons les parties avec lesquelles nous dialoguons à mettre fin aux provocations israéliennes qui se produisent dans le Sud. De notre côté, nous travaillons avec les parties locales pour maintenir la retenue et éviter d’exposer le Liban à n’importe quel type de risque", a-t-il ajouté.
Il a également annoncé avoir communiqué cette position "aux instances internationales et aux parties locales".
À la question de savoir s’il était rassuré quant au résultat de ces contacts, il a répondu: "Je ne serai tranquille que lorsque qu'un cessez-le-feu aura été instauré à Gaza. Tant qu'il n'y a pas de cessez-le-feu et que les provocations israéliennes persistent, je resterai sur mes gardes."
Interrogé sur le fait que le Liban n'avait pas été invité au Sommet du Caire pour la paix, M. Mikati a exprimé son incompréhension à ce sujet, malgré les contacts qu'il a eus avec les responsables égyptiens. Selon lui, "le Liban est directement impliqué dans la question de la paix en Palestine et dans la région, d'autant plus qu'il abrite des Palestiniens sur son territoire et qu'il est confronté à plusieurs problématiques liées au processus de paix".
La justification du Premier ministre concernant l'exclusion du Liban d'un sommet qui le concerne de manière cruciale est déconcertante: "Je pense qu’il y a dû avoir une erreur", a-t-il tenté d'expliquer.
En réponse à la question sur la possibilité d'une guerre au Liban et sur la préparation du pays à une telle éventualité, M. Mikati a déclaré : "Nous sommes tous préoccupés par la situation actuelle". Il a ensuite ajouté : "En ce qui concerne les mesures pratiques que nous prenons, nous tenons des réunions avec le Comité de gestion des catastrophes, nous avons élaboré un plan d'urgence complet, nous consultons toutes les organisations internationales et avons sollicité l'aide des Nations unies, car nous ne disposons pas des ressources de base pour faire face à toutes les situations".
"Nous avons établi des priorités telles que la santé, la question des réfugiés et les télécommunications", a-t-il conclu.
Lors d’une interview accordée à la chaîne télévisée locale LBCI, M. Mikati a indiqué que "les contacts diplomatiques se poursuivent". "Nous encourageons les parties avec lesquelles nous dialoguons à mettre fin aux provocations israéliennes qui se produisent dans le Sud. De notre côté, nous travaillons avec les parties locales pour maintenir la retenue et éviter d’exposer le Liban à n’importe quel type de risque", a-t-il ajouté.
Il a également annoncé avoir communiqué cette position "aux instances internationales et aux parties locales".
À la question de savoir s’il était rassuré quant au résultat de ces contacts, il a répondu: "Je ne serai tranquille que lorsque qu'un cessez-le-feu aura été instauré à Gaza. Tant qu'il n'y a pas de cessez-le-feu et que les provocations israéliennes persistent, je resterai sur mes gardes."
Interrogé sur le fait que le Liban n'avait pas été invité au Sommet du Caire pour la paix, M. Mikati a exprimé son incompréhension à ce sujet, malgré les contacts qu'il a eus avec les responsables égyptiens. Selon lui, "le Liban est directement impliqué dans la question de la paix en Palestine et dans la région, d'autant plus qu'il abrite des Palestiniens sur son territoire et qu'il est confronté à plusieurs problématiques liées au processus de paix".
La justification du Premier ministre concernant l'exclusion du Liban d'un sommet qui le concerne de manière cruciale est déconcertante: "Je pense qu’il y a dû avoir une erreur", a-t-il tenté d'expliquer.
En réponse à la question sur la possibilité d'une guerre au Liban et sur la préparation du pays à une telle éventualité, M. Mikati a déclaré : "Nous sommes tous préoccupés par la situation actuelle". Il a ensuite ajouté : "En ce qui concerne les mesures pratiques que nous prenons, nous tenons des réunions avec le Comité de gestion des catastrophes, nous avons élaboré un plan d'urgence complet, nous consultons toutes les organisations internationales et avons sollicité l'aide des Nations unies, car nous ne disposons pas des ressources de base pour faire face à toutes les situations".
"Nous avons établi des priorités telles que la santé, la question des réfugiés et les télécommunications", a-t-il conclu.
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