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- Wronecka appelle à l’application de la 1701 et à élire un président
La coordinatrice spéciale des Nations unies au Liban, Joanna Wronecka, a appelé à l’application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, «dans sa totalité» alors que les échanges de tirs d’artillerie se poursuivent à la frontière sud avec Israël. Elle a en outre plaidé pour l’élection «sans tarder» d’un nouveau président de la République.
Dans une déclaration à l’occasion du 78e anniversaire de l’ONU, Mme Wronecka a fait part de sa «profonde inquiétude à cause de la poursuite des échanges de tirs de part et d’autre de la Ligne bleue», avant de lancer un appel à la désescalade. «Il est plus urgent que jamais que les hostilités cessent et que la résolution 1701 du Conseil de sécurité soit appliquée dans son intégralité», a-t-elle déclaré.
Dans le même ordre d’idées, Mme Wronecka a souligné «la détermination de l’organisation internationale à aider le Liban à préserver sa sécurité et sa stabilité, alors que la région du Moyen-Orient traverse l’une des périodes les plus critiques de ces dernières décennies».
«Malheureusement, les risques pour la paix et la sécurité augmentent pour le Liban et la région, mais nous ne devrions jamais abandonner les perspectives de paix et de promotion d’un avenir plus durable pour le peuple libanais», a-t-elle poursuivi.
Pour elle, une paix durable ne peut cependant venir que de l’intérieur. «Le moment est venu de renforcer l’unité nationale et la solidarité collective pour faire face à cette période difficile pour le Liban», a-t-elle insisté. «Le meilleur moyen d’y parvenir est de dynamiser et de consolider les institutions publiques du pays, notamment par l’élection, sans tarder, d’un nouveau président», a-t-elle ajouté. Le Liban est sans président depuis le 30 octobre 2022.
La coordinatrice spéciale a ensuite rappelé que l’ONU, «avec ses 26 agences, fonds et programmes présents dans le pays, avait augmenté son soutien au Liban au cours des dernières années en réponse aux défis croissants auxquels le pays est confronté». «Ces efforts, a expliqué Mme Wronecka, couvrent tout le spectre du travail politique et de maintien de la paix de l’ONU, les efforts de développement, le soutien humanitaire et le respect des droits de l’homme, dans une approche inclusive et axée sur le fait de ne laisser personne de côté».
Actuellement, les Nations unies coordonnent avec le Liban les plans d’urgence, au cas où le conflit à Gaza s’étendrait au pays du cèdre et déploient des efforts en coordination avec les partenaires internationaux pour aider à protéger le Liban du conflit et à sauvegarder sa sécurité et sa stabilité, selon ses explications.
Dans une déclaration à l’occasion du 78e anniversaire de l’ONU, Mme Wronecka a fait part de sa «profonde inquiétude à cause de la poursuite des échanges de tirs de part et d’autre de la Ligne bleue», avant de lancer un appel à la désescalade. «Il est plus urgent que jamais que les hostilités cessent et que la résolution 1701 du Conseil de sécurité soit appliquée dans son intégralité», a-t-elle déclaré.
Dans le même ordre d’idées, Mme Wronecka a souligné «la détermination de l’organisation internationale à aider le Liban à préserver sa sécurité et sa stabilité, alors que la région du Moyen-Orient traverse l’une des périodes les plus critiques de ces dernières décennies».
«Malheureusement, les risques pour la paix et la sécurité augmentent pour le Liban et la région, mais nous ne devrions jamais abandonner les perspectives de paix et de promotion d’un avenir plus durable pour le peuple libanais», a-t-elle poursuivi.
Pour elle, une paix durable ne peut cependant venir que de l’intérieur. «Le moment est venu de renforcer l’unité nationale et la solidarité collective pour faire face à cette période difficile pour le Liban», a-t-elle insisté. «Le meilleur moyen d’y parvenir est de dynamiser et de consolider les institutions publiques du pays, notamment par l’élection, sans tarder, d’un nouveau président», a-t-elle ajouté. Le Liban est sans président depuis le 30 octobre 2022.
La coordinatrice spéciale a ensuite rappelé que l’ONU, «avec ses 26 agences, fonds et programmes présents dans le pays, avait augmenté son soutien au Liban au cours des dernières années en réponse aux défis croissants auxquels le pays est confronté». «Ces efforts, a expliqué Mme Wronecka, couvrent tout le spectre du travail politique et de maintien de la paix de l’ONU, les efforts de développement, le soutien humanitaire et le respect des droits de l’homme, dans une approche inclusive et axée sur le fait de ne laisser personne de côté».
Actuellement, les Nations unies coordonnent avec le Liban les plans d’urgence, au cas où le conflit à Gaza s’étendrait au pays du cèdre et déploient des efforts en coordination avec les partenaires internationaux pour aider à protéger le Liban du conflit et à sauvegarder sa sécurité et sa stabilité, selon ses explications.
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