Le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, s’est rendu mercredi chez le chef des Marada, Sleiman Frangié, à Bnechi (Liban-Nord), dans le cadre de la tournée du chef de la formation aouniste auprès de dirigeants libanais.
Au terme de la rencontre, M. Frangié affirme «être d’accord à 99% avec M. Bassil sur les sujets (d’actualité)», faisant valoir que «le Liban est plus important que la présidence de la République», compte tenu de l’éventualité de l’élargissement du spectre de la guerre avec Israël qui fait passer la question de la présidentielle au second plan. M. Frangié fait part, à cet effet, de «son inquiétude vis-à-vis du pays, ainsi que celle de la résistance (Hezbollah) qui l’a prouvé» sur le terrain, estimant que «ce qui se passe à Gaza est un crime contre l’humanité et nécessite notre soutien à la cause palestinienne». Et d’ajouter: «Nous œuvrons avec M. Bassil à nous unir et à éviter la division.»
De son côté, le chef de la formation aouniste, indique «l’existence d’une entente (avec M. Frangié) sur les différentes idées présentées» concernant «la nécessité de se rassembler face à la menace de guerre et de s’unir dans le travail, afin de rétablir l’ordre au niveau des institutions». M. Bassil a dans ce cadre souligné que, «dans ces circonstances, nous surmontons les obstacles», assurant avoir «perçu une réponse positive de sa part (M. Frangié) aux idées que j’ai présentées».
Dans une conversation avec des journalistes en marge de la rencontre, M. Frangié déclare être «toujours candidat potentiel» à la magistrature suprême, soulignant que «si un accord est trouvé, je suis prêt à accéder à la demande des 51 députés qui m’ont soutenu». Quant au CPL, M. Frangié indique qu’«il maintient sa position présidentielle, mais se dit prêt à coopérer avec moi si je suis élu».
Il convient de rappeler que la relation entre les Marada et le CPL était jusque-là tendue en raison notamment de la ferme opposition du parti orange à la candidature de M. Frangié.
Au terme de la rencontre, M. Frangié affirme «être d’accord à 99% avec M. Bassil sur les sujets (d’actualité)», faisant valoir que «le Liban est plus important que la présidence de la République», compte tenu de l’éventualité de l’élargissement du spectre de la guerre avec Israël qui fait passer la question de la présidentielle au second plan. M. Frangié fait part, à cet effet, de «son inquiétude vis-à-vis du pays, ainsi que celle de la résistance (Hezbollah) qui l’a prouvé» sur le terrain, estimant que «ce qui se passe à Gaza est un crime contre l’humanité et nécessite notre soutien à la cause palestinienne». Et d’ajouter: «Nous œuvrons avec M. Bassil à nous unir et à éviter la division.»
De son côté, le chef de la formation aouniste, indique «l’existence d’une entente (avec M. Frangié) sur les différentes idées présentées» concernant «la nécessité de se rassembler face à la menace de guerre et de s’unir dans le travail, afin de rétablir l’ordre au niveau des institutions». M. Bassil a dans ce cadre souligné que, «dans ces circonstances, nous surmontons les obstacles», assurant avoir «perçu une réponse positive de sa part (M. Frangié) aux idées que j’ai présentées».
Dans une conversation avec des journalistes en marge de la rencontre, M. Frangié déclare être «toujours candidat potentiel» à la magistrature suprême, soulignant que «si un accord est trouvé, je suis prêt à accéder à la demande des 51 députés qui m’ont soutenu». Quant au CPL, M. Frangié indique qu’«il maintient sa position présidentielle, mais se dit prêt à coopérer avec moi si je suis élu».
Il convient de rappeler que la relation entre les Marada et le CPL était jusque-là tendue en raison notamment de la ferme opposition du parti orange à la candidature de M. Frangié.
Lire aussi
Commentaires