La situation catastrophique de l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules (Mécanique) était au centre d’une réunion qui s’est tenue au siège de la Confédération générale des travailleurs du Liban (CGTL), jeudi. Y ont participé le président de la CGTL, Béchara al-Asmar, une délégation d’employés de l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules (Mécanique), le président du syndicat des propriétaires de bureaux d’auto-écoles, Afif Abboud, et le président du Syndicat des traqueurs de formalités, Pierre Atallah.
Les participants ont indiqué que «la fermeture continue d’un établissement public qui génère quotidiennement des milliards de livres au Trésor public», ainsi que la circulation de voitures sans immatriculation ni permis de conduire, met en danger la sécurité publique en général et la sécurité routière en particulier et contribue à la généralisation du phénomène de contrebande.
Ils ont réclamé, dans un communiqué, que le cas des employés libérés de l’Autorité soit examiné de manière globale et objective, ainsi que «l’injustice qui leur a été et leur est encore infligée en termes de mise au chômage et de privation de leurs droits». Ils demandent que les autorités judiciaires compétentes œuvrent à la résolution des cas en suspens et accélèrent la prise de décision afin que les employés condamnés reçoivent une peine appropriée et que les autres soient acquittés.
Les protagonistes ont par ailleurs appelé le président du Parlement, Nabih Berry, le Premier ministre, Najib Mikati, le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui et le directeur général de la Mécanique, Marwan Abboud, «à intervenir dans ce dossier afin de rendre justice aux employés et leur donner tous leurs droits pour leur permettre d’assurer, dans la mesure du possible, leurs moyens de subsistance».
Il convient de rappeler, dans ce cadre, que les portes de l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules sont fermées depuis plus d’un an, à la suite de l’arrestation des fonctionnaires soupçonnés de corruption.
Certains centres d’immatriculation des véhicules avaient rouvert leurs portes en avril. Ils ont assuré un service trois fois par semaine, avant de refermer leurs portes de nouveau.
Depuis le 11 septembre, quelques formalités sont dispensées, à savoir l’enregistrement des véhicules, le paiement des frais de mécanique, les permis de conduire internationaux et les procédures pour véhicules inutilisables.
Les participants ont indiqué que «la fermeture continue d’un établissement public qui génère quotidiennement des milliards de livres au Trésor public», ainsi que la circulation de voitures sans immatriculation ni permis de conduire, met en danger la sécurité publique en général et la sécurité routière en particulier et contribue à la généralisation du phénomène de contrebande.
Ils ont réclamé, dans un communiqué, que le cas des employés libérés de l’Autorité soit examiné de manière globale et objective, ainsi que «l’injustice qui leur a été et leur est encore infligée en termes de mise au chômage et de privation de leurs droits». Ils demandent que les autorités judiciaires compétentes œuvrent à la résolution des cas en suspens et accélèrent la prise de décision afin que les employés condamnés reçoivent une peine appropriée et que les autres soient acquittés.
Les protagonistes ont par ailleurs appelé le président du Parlement, Nabih Berry, le Premier ministre, Najib Mikati, le ministre sortant de l’Intérieur, Bassam Maoulaoui et le directeur général de la Mécanique, Marwan Abboud, «à intervenir dans ce dossier afin de rendre justice aux employés et leur donner tous leurs droits pour leur permettre d’assurer, dans la mesure du possible, leurs moyens de subsistance».
Il convient de rappeler, dans ce cadre, que les portes de l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules sont fermées depuis plus d’un an, à la suite de l’arrestation des fonctionnaires soupçonnés de corruption.
Certains centres d’immatriculation des véhicules avaient rouvert leurs portes en avril. Ils ont assuré un service trois fois par semaine, avant de refermer leurs portes de nouveau.
Depuis le 11 septembre, quelques formalités sont dispensées, à savoir l’enregistrement des véhicules, le paiement des frais de mécanique, les permis de conduire internationaux et les procédures pour véhicules inutilisables.
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